L'ÉVANGILE DE PAUL

VIII. La vie fraternelle dans la charité

« Que votre volonté soit faite sur la terre comme au Ciel ! »

POUR illustrer cette demande du Notre Père, il nous faut comprendre ce qui fait le fond de la vie chrétienne selon l’enseignement de saint Paul. (...)

Revenons à notre introduction générale :

Lespsaumes: Si les meilleurs, les pauvres d’Israël ont vécu dans l’attente du Messie et dans une grande vertu morale, il n’empêche qu’il suffit de lire l’Ancien Testament pour se rendre compte que la charité fraternelle n’arrive pas à s’établir dans le peuple d’Israël. (...)

Saints Pierre et PaulL’Évangile nous montre Jésus qui est toute charité, toute miséricorde, évidemment. Sous le nom de Béatitudes, sa prédication nous donne une idée parfaite et même hyperbolique de ce qu’est la charité et les principales vertus. (...) Jésus, c’est la perfection divine, mais admirablement réalisée dans la modestie d’une vie individuelle au sein du peuple juif, vie toute humiliée, toute absorbée par l’œuvre de révélation de sa divinité et l’accomplissement de sa mission de Rédempteur.

Son enseignement est parfait, il plane au-dessus de toutes les difficultés, de toutes les conditions particulières, parce qu’il vise l’humanité tout entière à travers les siècles.

Vient saint Paul. Ici, encore, saint Paul Va faire la synthèse, en sachant introduire la perfection évangélique dans le tissu de la vie quotidienne des communautés qu’il a fondées.

Cela, il va le faire dans l’esprit du Christ magnifiquement compris, c’est-à-dire avec simplicité, naturel, largeur de vue, générosité. Rien de plus large que saint Paul ! C’est toute la perfection du message évangélique, mais intégré avec un grand esprit pratique dans la vie quotidienne de chacun.

Lui qui a abandonné les traditions des pharisiens, il ne sombre pas dans le charismatisme en se contentant de dire : Christ est vivant, nous sommes sauvés... Non ! Il va donner des règles à ses Églises, des prescriptions. Mais ces prescriptions vont se fonder sur un esprit tout nouveau qui est l’esprit du Christ et non plus la Loi de Moïse. Saint Paul Va fonder une Tradition qu’il va imposer à ses Églises, comme venant de lui ou bien des autres Apôtres : (...)

« Or, nous vous prescrivons, frères, au nom du Seigneur Jésus Christ, de vous tenir à distance de tout frère qui mène une vie désordonnée et ne se conforme pas à la tradition que vous avez reçue de nous. » (2 Th 3, 6) (...)

Dans les épîtres de saint Paul, nous voyons la Tradition se former à mesure que des problèmes particuliers se posent. L’Apôtre, dépositaire de la Sagesse divine et de l’Évangile du Christ, les résout en créant des lois nouvelles, des préceptes nouveaux et cela constitue la Tradition.

LA TRADITION D’UNE BONNE VIE CHRÉTIENNE

Après avoir célébré la liturgie du dimanche, les chrétiens reviennent en famille chez eux. Qu’est-ce qui gouverne leur existence pour toute la semaine ? L’Esprit-Saint. Ils sont dans l’Esprit-Saint. L’Esprit-Saint leur donne le goût des vertus, le dégoût des vices. Cette vie nouvelle dans l’Esprit-Saint va consister en trois choses :

1) La vertu. En gros, c’est la bonne conduite des chrétiens qui accomplissent la loi (Rm 7, 14). Toute l’épître aux Romains est faite pour nous montrer que le chrétien, dans l’Esprit-Saint, est libéré de la Loi juive. Mais à peine libéré de la Loi juive, que fait-il ? Il pratique la loi. La Loi juive ? Pas exactement, mais enfin, substantiellement.

Maintenant qu’il est dans l’Esprit, le chrétien n’a aucune peine à pratiquer la loi, ce n’est pas celle des Tables de la Loi et de toutes les prescriptions que les juifs avaient ajoutées de génération en génération jusqu’à constituer un fardeau insupportable, mais c’est la loi du Christ (1 Co 9, 21). C’est ce que l’Esprit-Saint nous dicte et sait devoir faire lorsqu’on aime Dieu.

« L’heure du salut approche, vivez bien, revêtez-vous du Seigneur Jésus Christ, ne cherchez pas à satisfaire la chair. » (Rm 13, 12-14)

C’est tout le triomphe de l’épître aux Romains :

« En effet, ceux qui vivent selon la chair désirent ce qui est charnel ; ceux qui vivent selon l’esprit, ce qui est spirituel. Car le désir de la chair, c’est la mort, tandis que le désir de l’Esprit, c’est la vie et la paix... » (8, 5-6).

Col 3, 5-9 :

« Mortifiez donc vos membres terrestres : fornication, impureté, passion coupable, mauvais désirs et la cupidité, qui est une idolâtrie : voilà ce qui attire la colère divine sur ceux qui résistent. Vous-mêmes, vous vous conduisiez naguère de la sorte, quand vous viviez parmi eux [parmi les païens]. Eh bien ! à présent, vous aussi, rejetez tout cela : colère, emportement, malice, outrages, vilains propos doivent quitter vos lèvres ; ne vous mentez plus les uns aux autres.

« Vous vous êtes dépouillés du vieil homme avec ses agissements, et vous avez revêtu le nouveau... » (...)

La morale de saint Paul conduit à un changement radical qui va se concrétiser dans des petites prescriptions (Rm 12), des vertus opposées aux sept péchés capitaux.

2) Deuxième principe étonnant : la liberté ! (...)

Saint Paul est un ami de la liberté, il précise qu’il s’agit évidemment de la liberté spirituelle, la liberté dans l’Esprit-Saint. Il jouit de cette liberté, et la revendique pour ses chrétiens.

Dans l’Épître aux Galates, il montre qu’il s’est battu contre les judéo-chrétiens pour garder aux païens convertis cette liberté. (...) Il ne voulait pas qu’on mette les païens convertis sous le joug de la circoncision, sous la chape de plomb des prescriptions de la Loi juive. (...)

Dans l’Épître aux Colossiens, il essaye de libérer ses chrétiens des gens qui les faisaient trembler par toute une fantasmagorie moitié juive, moitié gnostique, moitié païenne.

« Du moment que vous êtes morts avec le Christ aux éléments du monde, pourquoi vous plier à des ordonnances comme si vous viviez encore dans ce monde ? “ Ne prends pas, ne goûte pas, ne touche pas ”, tout cela pour des choses vouées à périr par leur usage même ! Voilà bien les prescriptions et doctrines des hommes ! Ces sortes de règles peuvent faire figure de sagesse par leur affectation de religiosité et d’humilité qui ne ménage pas le corps ; en fait, elles n’ont aucune valeur pour l’insolence de la chair. » (Col 2, 20-23)

Oh ! Ce que c’est profond ! Toutes ces réglementations sur ce que vous pouvez et ne pouvez pas faire, etc., cela a l’air d’être religieux, mais en réalité cela vous gonfle d’orgueil, car une fois accomplies, vos passions sont les mêmes.

C’est de tous les siècles. Pensez aux gens qui ont des prescriptions alimentaires, des prescriptions sur la manière de dormir (il faut se coucher dans telle direction parce que là, tu n’as pas les effluves cosmiques ; tu ne peux pas dormir si tu as ton lit en travers, etc. !), ou bien à celui qui dit : Je ne prends pas de tel aliment pour garder la chasteté ! Comme si ta chasteté dépendait de ce que tu manges et de ce que tu bois !

Tu es mort à tout cela, mon ami, c’est l’Esprit-Saint qui te fait vivre dans la chasteté. Ce ne sont pas les prescriptions alimentaires.

Saint Paul avait certainement un slogan, il disait (cf. 1 Co 6, 12) (...) : « Tout m’est permis ! », comme saint Augustin dira : « Aime et fais ce que tu veux ! » En cela, saint Augustin est absolument dans la ligne de saint Paul.

Voilà la semaine qui commence pour le chrétien : eh bien ! il n’est pas retenu par des prescriptions, des commandements qui n’ont pas de raison. « Tout m’est permis », cela ne veut pas dire la licence, nous a dit saint Paul dans l’épître aux Galates (5, 13-14), mais cela veut dire : suis ton inspiration, tout ce que tu as envie de faire de bien, fais-le !

À cette liberté saint Paul mettra tout de même une limite, la charité.

3) Troisième principe : la charité.

La charité veut dire : largeur de vue, tolérance des opinions et des mœurs des frères. On a tellement d’idées différentes. Il faut composer les uns avec les autres, du moment que cela ne touche pas à Dieu le Père, au Seigneur Christ et à l’Esprit-Saint. Pour tout le reste, tolérez ! avec largeur de vue. Évitez les mesquineries, les préjugés, les superstitions, évitez-les pour vous, mais laissez les autres s’y noyer s’ils le veulent.

Saint Paul explique cela pour régler le problème des idolothytes. Ces viandes consacrées aux idoles étaient posées sur l’autel de l’idole, et il arrivait parfois que cette viande se retrouve sur le marché. Fallait-il en manger ou pas ? (...)

C’est admirable de voir saint Paul dénouer ce problème avec une grande largeur de vue. [cf. Rm 14 ; 1 Co 8 ; 1 Co 10, 23 à 1 Co 11, 1.] (...)

C’est extraordinairement précieux de savoir que pour saint Paul, la charité importe plus que la science, qu’il faut tout faire pour la gloire de Dieu et que enfin, saint Paul conseille de l’imiter comme lui-même imite le Christ.

Donc, c’est une liberté, mais qui est conduite, inspirée, surmontée, survolée par la charité. Je n’ai pas le temps d’insister, vous lirez cela vous-mêmes.

Cette charité, saint Paul Va en parler dans toutes ses épîtres, dans cette deuxième partie de l’épître qu’on appelle les parénèses. On voit que c’est vraiment la caractéristique de l’Évangile de Jésus-Christ, répercutée, suivie par saint Paul. La charité a son excellence qui passe avant les théories sur les idolothytes ou même tous les autres charismes par lesquels les hommes peuvent se glorifier. Dans 1 Co 13, 13, il fait l’éloge de la charité fraternelle, c’est un monument vraiment incomparable. Écho de ce texte dans Col 1, 3-5 ; 1 Th 1, 3 ; 4, 8. (...)

On sent qu’il y a une vraie fraternité dans les communautés de saint Paul, mais cette vraie fraternité, c’est lui qui l’alimente en montrant que ce sont les fruits de l’Esprit : se saluer avec respect et affection, faire la paix entre soi, se pardonner. (...)

Il n’empêche que saint Paul a à régler des quantités de problèmes. Là, nous allons rencontrer toutes sortes de difficultés et toutes sortes de règles édictées par saint Paul, dont on peut dire que ce sont les premiers traités de morale et de droit canonique.

SAINT PAUL MORALISTE

Vous avez troisgroupesdetextes où saint Paul entre dans le vif des difficultés morales, les tranche souverainement comme moraliste et aussi comme pasteur, comme chef de peuple.

* Premier groupe : c’est essentiellement la première épître aux Corinthiens. L’Église des Corinthiens est une Église très mêlée de païens de diverses langues, diverses traditions. Il y a d’énormes scandales dans cette Église et on voit saint Paul les traiter.

– C’est le scandale de l’incestueux.Saint Paul réagit fortement et par les raisons les plus hautes. Il nous donne l’exemple d’une excommunication, il livre cet homme à Satan.

– Scandale de la fornication au chapitre 6e.

– Au chapitre 7e, il ne s’agit plus de scandale mais de la vie conjugale, du mariage, avec tous les problèmes que pose le mariage. Faut-il se marier ? Faut-il rester avec un mari païen ? Est-ce que la femme et le mari doivent vivre dans le mariage en s’obéissant mutuellement pour ce qui concerne le devoir conjugal ? N’est-il pas mieux pour une veuve de rester veuve sans se remarier ? Tout cela est traité au chapitre 7e, ce qui va faire un fondement à notre morale conjugale à travers les siècles.

– Quand les chrétiens de Corinthe ont des différents, ils sont en procès devant les tribunaux païens. Saint Paul proteste : c’est indigne ! (chapitre 6e). C’est un problème tout nouveau, le Christ n’en a pas parlé. Selon l’esprit du Christ, selon l’Esprit-Saint, Paul tranche : on doit régler ses différents entre chrétiens. Il jette ainsi les bases d’une société catholique, la chrétienté. Il est normal que les chrétiens se jugent les uns les autres, selon la hiérarchie de l’Église, sans faire appel aux païens.

Pour régler tous ces problèmes moraux, saint Paul se sait infaillible, et il rejette par conséquent les objections de ceux qui s’opposeraient à ses déclarations.

« Si quelqu’un croit être prophète ou inspiré par l’Esprit-Saint, qu’il reconnaisse en ce que je vous écris un commandement du Seigneur. S’il l’ignore, c’est qu’il est ignoré. »

Voilà qui est très important, surtout de nos jours !

* Deuxième groupe d’épîtres morales : Éphésiens 5 ; Colossiens 3, qui règlent la vie des sociétés naturelles : les maris et leurs femmes, les enfants et leurs parents, les esclaves et leurs maîtres. C’est là qu’il y a cette admirable comparaison du mariage avec l’union du Christ et de l’Église.

Il faudrait ajouter à cette liste la soumission au pouvoir civil (Rm 13, 1-7), la prière pour les autorités, la constitution de l’ordre moral traditionnel chrétien (1 Tm 2, 2 et 8 ; Tt 3, 1).

* Troisième groupe d’enseignement moral, dans les pastorales, les épîtres à Timothée et à Tite. C’est le vieux saint Paul qui a survécu à sa première captivité de Rome, il voyage une dernière fois car il veut conforter l’autorité de ses successeurs en leur donnant des consignes précises. C’est ainsi qu’il donne à Timothée des conseils sur les femmes, sur les veuves, sur les gens mariés, sur les vieillards, sur les jeunes gens, sur les esclaves. Ce sont autant de pistes morales où l’on voit très bien saint Paul, sous l’influence de l’Esprit-Saint, déterminer comment la charité doit trouver sa Loi pratique. Cela va former les traditions de l’Église.

D’où ma conclusion : saint Paul, à travers les combats qu’il mène pour fonder ses Églises, en pleins pays païens et face aux Juifs, brosse l’idéal d’une vie tranquille : il faut absolument lire 1 Tm 2, 1-8, car c’est le spectacle anticipé d’une vieparoissiale en terre de vieille chrétienté, ou bien d’une vie d’une mission neuve et ardente :

« Je recommande donc, avant tout, qu’on fasse des demandes, des prières, des supplications, des actions de grâces pour tous les hommes, pour les rois et tous les dépositaires de l’autorité, afin que nous puissions mener une vie calme et paisible en toute piété et dignité. » (...)

« Voilà ce qui est bon et ce qui plaît à Dieu notre Sauveur, lui qui veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. »

Je pense à cette vie calme, en toute piété et dignité, cette vie paisible de nos paroisses à travers les siècles. Comptez : une paroisse de trois cents habitants, à travers les siècles, les millénaires, combien cela fait d’hommes qui ont fait paisiblement, tranquillement, leur salut sur la terre et qui maintenant sont dans le Ciel ? C’est ce que Dieu veut, Il veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité.

« Car Dieu est unique, unique aussi le médiateur entre Dieu et les hommes, le Christ Jésus, homme lui-même, qui s’est livré en rançon pour tous. Tel est le témoignage rendu aux temps marqués et dont j’ai été établi, moi, héraut et apôtre – je dis vrai, je ne mens pas –, docteur des païens, dans la foi et la vérité. Ainsi donc je veux que les hommes prient en tout lieu, élevant vers le ciel des mains pieuses, sans colère ni dispute. »

Tel fut l’idéal de la vie chrétienne en paroisse à travers les siècles, mais il ne faut pas oublier que la bonté et tranquillité de cette vie se paye toujours au prix d’une lutte incessante, car les obstacles ne manquent pas.

LES OBSTACLES À LA BONNE VIE CHRÉTIENNE

1. Cette vie chrétienne a dû premièrement résister aux grandes sollicitations du paganisme (cf. Ép 4, 17-24) : les erreurs et les vices du paganisme. (...)

2. Deuxième obstacle, l’hérésie et le schisme. (...)

Que ce soient les idolothytes, les charismes, l’éloquence des prédicateurs, les doctrines des gnostiques, les insinuations des juifs, la circoncision, etc., autant de problèmes qui introduisent des dissensions, des hérésies, des schismes que compliquent des rivalités de personnes. Cela existait dans les communautés chrétiennes dès saint Paul. (...) Contre cet obstacle à la vie paisible des chrétientés, saint Paul enseigne la charité, la fraternité, le pardon des injures, l’obéissance au chef.

3. Troisième obstacle, les grands scandales qui exigent de promptes sanctions. Saint Paul s’est montré très ferme, et tout spirituel qu’il était, c’est dans l’Esprit-Saint qu’il a condamné, excommunié, livré à Satan ceux qui étaient les fauteurs de scandales. Donc, rien d’étonnant à ce que l’Église l’ait fait à travers les siècles.

Ces dangers étant écartés, qu’en résulte-t-il ? La bonne vie fraternelle communautaire, dont il nous donne un spectacle dans ses parénèses, spectacle tout à fait aimable. Ce sont les ménages fidèles, les familles solides, où les enfants obéissent à leurs parents, où les parents se dévouent à leurs enfants. Ce sont les métiers où les esclaves sont soumis à leurs maîtres, et les maîtres dévoués à leurs esclaves. Ce sont les nations où le pouvoir est bienveillant et respecté. C’est toute une vie sociale, une chrétienté qui est déjà tracée dans les épîtres de saint Paul au chapitre de la morale. Mais, dans ces communautés, l’Église reste le pôle d’attraction des âmes, par sa vie liturgique, son ambiance d’amitié, ses œuvres de charité. (...)

Tout cela, qui est magnifique dans les épîtres de saint Paul, a été magnifiquement vécu dans l’Église. Il n’y a aucune raison de s’éloigner d’une telle loi puisque c’est la loi du Christ que l’Esprit-Saint rend possible à l’Église.

Abbé Georges de Nantes
Extraits de S 63 :L'Évangile de Paul
Conférence du jeudi après-midi, 15 septembre 1983

  • S 63 : L'Évangile de Paul, retraite automne 1983, 18 h (audio)

Références complémentaires :

Méditations :
  • Dans le tome 1 des Lettres à mes amis :
    • Pauvreté, chasteté, renoncement… mort d'amour, n° 30 (sur 1 Co 7)
    • Le mariage chrétien imite les noces de Jésus et de son Église, n° 64, Février 1960 (sur Ep 5, 32)
En audio :
  • PC 34 : La morale phalangiste à l’heure du sida, Pentecôte 1987, 14 h 30
    • Conférences 1, 4 et 7 : Le kérygme apostolique
  • LOGIA 94, n° 18 : Dans le Christ, Juifs et Grecs sont réconciliés. (Ep 2) (11 min)
  • LOGIA 95, n° 2 : La parénèse de l'épître aux Colossiens (16 min)
  • LOGIA 98, n° 2, n° 3 ; LOGIA 99, n° 6, n° 60 : Morale et vertus chrétiennes