30 novembre
La “fête angevine”
UN jour de 430, l’évêque d’Angers, saint Maurille, vint rendre visite à ses frères, les moines du mont Glonne. Descendu au pied du coteau pour prier dans la solitude, il se vit tout à coup entouré d’une lumière céleste. La Très Sainte Vierge, tenant en ses bras son Divin Enfant, daignait lui apparaître dans un peuplier. Elle dit à son dévot serviteur que la volonté de Dieu et le bon plaisir de son Fils étaient qu’il établît une fête solennelle du jour de sa sainte naissance, le 8 de septembre.
La “ fête angevine ”, comme on l’appela alors, fut inscrite au calendrier du diocèse. Ce n’est que deux siècles plus tard qu’elle se répandit, après une nouvelle manifestation du Ciel.
À l’école de notre Père, désirons être « enfant de Marie dans toutes les minutes, toutes les secondes de notre existence. Enfant de Marie, cela remplit une vie, c’est un chemin d’accès facile à Dieu. C’est un moyen sûr de devenir frères de Jésus et dévots du Cœur Immaculé. »
Je vous salue, Aimable Enfant, très chère Souveraine, Cœur de mon cœur, ma joie et mon amour !
Colorier les marguerites.