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Cet évangile des Béatitudes est d’une extrême douceur. Pour savourer ces béatitudes que Notre-Seigneur nous enseigne, rien de tel que de voir, d’admirer la personne de notre entourage qui nous édifie précisément parce qu’elle vit, pratique cette béatitude. En ce troisième dimanche ordinaire, l’Église nous donne à méditer la première épitre aux Corinthiens où saint Paul rappelle énergiquement aux Juifs et aux païens de son temps qu’il ne faut pas évacuer la Croix du Christ. Aujourd’hui, cet enseignement, que notre Père n’a cessé de proclamer dans ses Lettres à mes amis, est toujours d’une actualité brûlante. La première rencontre de Jean l’Évangéliste, alors disciple du Baptiste, avec Jésus, s’inscrit dans le cadre d’une semaine inoubliable. Ce passage d’Évangile qui rapporte le témoignage de Jean-Baptiste en faveur de Jésus est d’une pureté incomparable. De Palestine au Portugal, de l’étable de Bethléem à l’humble cellule de sœur Lucie à Pontevedra, l’orthodromie divine est sûre... et pas de meilleure manière de consoler le Bon Dieu que de chanter le Magnificat dont le commentaire fut la trame de notre session de janvier. Bravant les froidures de décembre, nos familles phalangistes ont maintenu l’élan de leur dévotion réparatrice, pour visiter l’ancien Carmel de Pau, où vécut sainte Marie de Jésus-Crucifié, le petit sanctuaire Notre-Dame de Paix près de Rouen, enfin Notre-Dame de Liesse, au diocèse de Soissons. Notre Père nous livre le secret ressort de l’histoire universelle et, du même mouvement, nous donner une clef d’interprétation de la théologie de saint Paul et du mystère de l’Alliance qu’il a reçu mission de révéler au monde, ce qu’il appelle « Mon évangile », celui que doit prêcher « L’Église de l’Alliance » La vie cachée à Nazareth a duré trente ans. Regardons vivre ces trois saintes personnes : Jésus, Marie, Joseph, au travail, en silence, en prière. Tout notre idéal de Petits frères et Petites sœurs du Sacré-Cœur et de ceux qui ont adhéré à la Phalange de l’Immaculée. Le pape François et la consécration du 25 mars ne semblent pas faire l’unanimité. Une question légitime exprime bien le malaise : quelle est la différence entre la consécration de François au Cœur Immaculé de Marie et celle de Léon XIII au Sacré-Cœur ? Sommaire du numéro 239 de janvier 2023 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! Les chrétiens hébreux de l’Église naissante « fréquentaient assidûment le Temple et rompaient le pain dans leurs maisons (l’Eucharistie) ». En 62 le martyre de Jacques met brutalement fin à cette double appartenance et laisse les chrétiens “ hébreux ”, et surtout les prêtres, désemparés face à la persécution, ébranlés dans leur foi... C’est alors que Paul prend en charge ses anciens frères séparés, ses adversaires d’hier pour les consoler, les fortifier dans l’épreuve en la leur expliquant, leur redonner ainsi l’espérance et une foi meilleure : c’est l’épître aux Hébreux. Grâce aux apparitions et au message de Notre-Dame de Fatima, voici cette fête de l’Épiphanie que nous croyions dépassée qui revient au premier plan de l’actualité avec son annonce et son espérance du triomphe universel du Christ. Nous allons donc fêter aujourd’hui les rois Mages avec admiration et reconnaissance. Cette rétrospective s'attache à montrer comment le cardinal Ratzinger refusa de condamner efficacement toutes les erreurs doctrinales qui se propagèrent dans l'Église à la faveur du Concile et du pontificat de Jean-Paul II. Devenu pape à son tour, il continua à prétendre lutter contre les divisions autrement qu'en défendant la Vérité, on sait pour quel résultat. « C’est l’ineffable Euripide qui dispose la piété innée des belles âmes d’Athènes à entrer comme de plain-pied dans la mystique chrétienne (...). Tant de scènes imaginées par lui figurent, parfois jusqu’à la ressemblance littérale, des scènes d’Évangile ! (...) D’Euripide, je pense qu’il est, en figures bien entendu ! déjà pleinement chrétien, et mystique chrétien. » Récitons le chapelet et nous serons sauvés. Plus nous nous sentons pécheurs, plus nous nous sentons loin de Dieu le Père, loin de Jésus-Christ, impressionnés par sa majesté, par sa souveraineté sur nous, plus nous devons nous réfugier dans le manteau de la Sainte Vierge et l’appeler à notre aide par la récitation très sainte du Je vous aime ô Marie. Quand est arrivé le quarantième anniversaire de mon sacerdoce, j’ai choisi cette ravissante statuette d’ivoire qui a ravi mon cœur et qui représente la Vierge donnant le sein à son Enfant Jésus. Cette statuette évoque pour moi la joie du Ciel qui découle du mystère de l’Incarnation. Non, le Prophète n’a pas menti qui annonçait merveille plus belle que toutes, une Vierge qui devait concevoir et enfanter l’Emmanuel. Non, les Évangélistes ne nous trompaient pas dans leurs récits enchanteurs de l’Annonciation et de la Nativité où tout est dit par le menu pour notre joie. Non, les splendeurs de toutes les liturgies de l’Orient et de l’Occident ne dépassèrent pas la vérité en vous adressant leurs louanges comme à la très pure, l’inviolable, l’Immaculée, toujours Vierge et très Sainte Mère de Dieu. Il y a vingt-cinq ans, notre bien-aimé Père, constatant l’échec humain de trente ans de combat CRC, décidait de « passer la main à l’Immaculée ». Aujourd’hui, à travers les épreuves et les contradictions, comment nier que Notre-Dame a pris soin de sa petite Phalange ? Nos phalangistes se mobilisent pour multiplier les pèlerinages de dévotion réparatrice. Pour donner corps à l’article sur Notre-Dame du Grand Retour, ils ont commencé par aller la vénérer dans son sanctuaire de Boulogne-sur-mer, l’un des plus anciens de la Chrétienté, puis à Annecy où la Savoie fut consacrée à la Reine du Ciel en 1472.… Dans la lutte de la Femme contre le Serpent, notre vocation est de revêtir la nature et la condition même du Christ sauveur Fils de Marie dans une nouvelle Alliance sainte, plus parfaite encore que n’était la première alliance de Dieu avec Adam. La récitation du chapelet n’est que la continuation de cette louange et glorification de ce que les bergers ont entendu des anges et vu, à l’unisson du Cœur Immaculé de Marie conservant avec soin toutes ces choses et le méditant avec amour. Lorsqu’on veut soigner un patient, il faut commencer par étudier la médecine. De même, pour servir notre Église malade, pour diagnostiquer son cancer, il faut bien connaitre son histoire et étudier son mystère. C’est précisément ce à quoi nous allons nous appliquer pendant ce camp. Sommaire du numéro 238 de décembre 2022 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! L’évangile de ce dimanche nous met en présence de la personnalité énigmatique et considérable de saint Jean-Baptiste, le Précurseur. Tout l’Ancien Testament converge vers Jean-Baptiste et Jean-Baptiste montre en Jésus le Messie tant attendu. Pour vaincre le Diable, échapper au monde, garder la pureté de la chair et l’humilité de l’âme, l’ardeur du cœur, un seul recours : l’Immaculée Conception, la Mère du Bel Amour, la Vierge aimée de Dieu, Marie au Cœur Immaculé. Aimer la Sainte Vierge est une grâce d’élection. Je voudrais vous recommander de prendre pour modèle pendant cet Avent saint Jean-Baptiste, le Précurseur, l’ermite du désert, le Précurseur du Messie, celui en lequel tout l’Ancien Testament se résume et prend sa force. Avec la liturgie, je me réjouis aujourd’hui car une nouvelle chance m’est donnée. Vous me demandez, mon Dieu, de me réjouir de cette nouvelle année liturgique qui va aboutir à la grande fête de Noël. Pourquoi un chrétien doit-il faire de la politique ? Préparons-nous à célébrer la naissance du Divin Enfant Jésus, confiants en la douce et bonne Providence de son Père Céleste. Dans les temps difficiles que nous vivons, Il fera tout servir à notre plus grand bien spirituel et à notre salut éternel. En cette fête du Christ-Roi, il nous est bon de méditer sur les promesses de Notre-Dame de Fatima qui éclairent d’une lumière surnaturelle notre triste actualité. Que le lecteur inquiet se rassure : si ce numéro d’Il est ressuscité ! est bimestriel, ce n’est pas par manque de matière, mais plutôt par excès d’activité ! Jugez-en vous-mêmes… Le “ retour ” de qui ? Celui de notre Reine au Cœur Immaculé, qui veut reconquérir son beau domaine, la France, prédestinée depuis les origines à lui servir d’instrument. Mais aussi “ retour ” de notre peuple au cœur infidèle, afin qu’il se convertisse et “revienne ”, le mot est biblique, à son Roi et à sa Reine Médiatrice. S’il est vrai que les États-Unis occupent quotidiennement l’actualité, cela ne signifie pas que ce pays a un rôle à jouer dans le plan divin. En nous plongeant dans son histoire, nous comprendrons mieux pourquoi le Ciel ne s’est pas tourné vers ce peuple. Dès le premier mystère joyeux, il nous faut accorder notre cœur à celui de notre Mère afin de la consoler. La dévotion réparatrice n’est rien d’autre que consoler notre « Maman du Ciel », comme disaient les enfants de l’Île-Bouchard, si nous pouvions ramener le sourire sur son visage en grand chagrin. Le spectacle de la chute du soleil, le 13 octobre 1917 à Fatima, n’a pas d’autre répondant que la Résurrection du Seigneur dans le cours de l’histoire universelle. Il est le signe apocalyptique de l’indignation de Dieu contre un monde apostat, et, dans cette colère de Dieu, une miséricorde se manifeste en faveur de ceux qui demandent pardon et se convertissent… Sommaire du numéro 237 d’octobre et de novembre 2022 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! À la fin de cette année liturgique, il est bon de méditer sur notre propre mort qui sera la fin du monde pour chacun d’entre nous et nous mènera au jugement devant le tribunal de Dieu. L’Église en ce mois de novembre nous donne à méditer le livre des martyrs d’Israël qui est un des grands textes de l’Ancien Testament que le combat de notre Père contre le culte de l’homme au service de l’Église rend d’une actualité saisissante. C’est la grâce de la Toussaint de se sentir relié aux êtres célestes par un mouvement montant et descendant. Je vivrai donc cette journée dans une perpétuelle osmose avec les saints du Ciel. Ô très saint Cœur de Jésus, quelle qualité, quelle force, quelle grandeur dans votre charité chaude, conquérante, séduisante ! C’est elle qui a transformé ces hommes et ces femmes qui vous suivirent comme Matthieu, Zachée ou Marie-Madeleine... Notre Père, l'abbé Georges de Nantes, enseigne une science politique qui pourra devenir à l’heure de Dieu, par son élu, l’art souverain de la renaissance de la France, de la Chrétienté et du monde. En ce mois d’octobre, l’Église nous donne à méditer dans l’Évangile la parabole du pharisien et du publicain. Ce texte est d'une telle clarté que tout le monde le comprend… Jésus nous invite chacun à faire notre examen de conscience. Jésus disait un jour à ses disciples qu’il leur fallait toujours prier sans jamais se lasser, illustrant son propos par la parabole du Juge et de la veuve importune... qu’il conclut ainsi : « Comment donc Dieu, si bon et patient avec les siens, ne répondrait-il pas à l’appel de ses élus qui crient vers lui jour et nuit ? Je vous en réponds : il leur fera justice promptement. » Il y a quelque chose de tout à fait déconcertant à dire que le salut du monde dépend de la dévotion réparatrice... Quand on considère les pratiques qui doivent accompagner l’intention de réparer les offenses au Cœur Immaculé de Marie, on est un peu comme Naaman le Syrien qui devait juste obéir à Élie et se baigner dans le Jourdain pour être guéri de sa lèpre ! En ce 27e dimanche du Temps ordinaire, l’Église nous donne à méditer le passage de l’Évangile de saint Luc où Notre-Seigneur reproche à ses Apôtres leur manque de foi, tout en les incitant à servir l’Église comme des « serviteurs inutiles ». Voyons comment notre Père a pris à cœur de répondre à ces exigences de Notre-Seigneur tout au long de son ministère sacerdotal. L’apparition de Notre-Dame de Fatima le 13 juillet 1917 nous procure une vive horreur de l’enfer ; mais elle nous invite à nous faire une représentation du Ciel aussi merveilleuse que celle de l’enfer est effroyable, afin de désirer beaucoup aller au Ciel. Qui êtes-vous Sonis ? Miles Christi et Mariæ ! Voici la figure admirable d’une âme prédestinée, d’un grand soldat qui ne voulut jamais rien refuser à Dieu ! La parabole de l’intendant infidèle, apparemment si déconcertante, nous délivre un enseignement surnaturel : à ceux qui sont mal partis dans la vie, le Christ indique, avec un brin d’ironie, le moyen de se rattraper... Rarement notre CRC n’a si bien signifié « Comment Rester Catholique » que pendant le camp de la Phalange du 16 au 27 août. Frère Bruno a profité de ces jours de retraite pour faire mieux connaître et aimer l’Église aux jeunes phalangistes C’est le titre de l’oratorio qui chante l’histoire d’Élie, rapportée par la Sainte Écriture dans le Livre des Rois. Il n’y a qu’à lire pour qu’aussitôt des parallèles étonnants se dessinent entre lui et Georges de Nantes. L’oratorio raconte le grand combat de toute la vie du prophète, en filigrane, nous apercevons la vocation semblable de notre Père, vocation commune de leurs cœurs consumés d’un même zèle jaloux de la gloire de Dieu.Mise en pratique des Béatitudes
N’oublions pas, chrétiens, la Croix du Christ !
Le Baptiste désigne le Fils de Dieu et roi d’Israël
La Ligue : Épiphanie réparatrice
En route vers Notre-Dame ! (2)
Sainte Église notre Mère : L’Église de l’Alliance
« Récitez le chapelet tous les jours. »
Les mystères joyeux du Rosaire (III)Je vous aime, ô Marie !
N° 239 - Janvier 2023
L'épître aux Hébreux
L’Épiphanie de notre espérance catholique
Le cardinal Ratzinger à la conquête du trône pontifical
Euripide
La dévotion à la Sainte Famille est le moyen d’acquérir toutes les vertus
La Vierge allaitante dans la crèche est déjà corédemptrice
2023
En l’honneur de la bienheureuse et toujours Vierge Marie
La Ligue : Venez, Divine Marie !
En route vers Notre-Dame !
Sainte Église notre Mère : Le grand projet divin
« Récitez le chapelet tous les jours. »
Les mystères joyeux du Rosaire (II)Georges de Nantes, fils de l’Église
N° 238 - Décembre 2022
La personnalité de saint Jean-Baptiste
Aimer la Vierge Marie est une grâce d’élection
Saint Jean-Baptiste admirable et imitable !
Une nouvelle année liturgique, une nouvelle grâce de conversion
La politique, champ d’exercice à la justice divine
Avent 2022 dans la confiance en la Bonne Providence
Les promesses infaillibles de Notre-Dame de Fatima
La Ligue : Opération mariale spéciale
Préparer son “ retour ” par la dévotion réparatrice
Géopolitique et orthodromie catholique
L’échec de l’ambition hégémonique des États-Unis (1898-2021)« Récitez le chapelet tous les jours. »
Les mystères joyeux du Rosaire (I)Le jour du Seigneur est proche
N° 237 - Octobre-novembre 2022
Méditation sur la fin du monde et sur notre mort
Le combat de Dieu
Le Ciel
La bonté du Cœur de Jésus
Politique totale
Libérer le peuple du joug des pharisiens
La voie étroite
La leçon de Naaman le Syrien : actuelle !
Défenseur de la Foi comme un « serviteur inutile »
Le salut des pécheurs et la vision de l’enfer du 13 juillet 1917
Le général de Sonis
La parabole de l’intendant infidèle
La Ligue : Enfants de l’Église
Élie ou le zèle jaloux de la gloire de Dieu