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Jamais nous ne méditerons assez cette belle vérité rappelée par frère Bruno en ouvrant la session de Toussaint : La France est le royaume de Marie. Les diaboliques en ont pris possession depuis deux siècles, mais Jésus et Marie ne ratifieront jamais cette occupation illégale de leurs domaines. Les « frères et sœurs » de Jésus sont une pierre d’achoppement pour la foi de certains et un cas d’exégèse dont les difficultés nombreuses n’ont jamais été parfaitement résolues. Pourtant, aidés par les découvertes modernes, il serait possible aujourd’hui de rouvrir ce dossier et d’aboutir à établir d’une manière cohérente la parenté charnelle de Jésus, avec une conséquence inattendue. C’est le premier constat que nous pouvons faire en commençant cette étude : Marie est partout chez elle, chez nous. Plus de huit mille sanctuaires lui sont dédiés. Spécialement, celle dont on parle tant depuis cinq ans, celle qui était le monument le plus visité de France, Notre-Dame de Paris. C’est un texte religieux comme nous n’en avions plus eu depuis longtemps. Seulement le concile Vatican II est passé par là… Car le but du Pape, par cette encyclique, est de faire enfin réussir la chimère, le rêve du Concile : la « civilisation de l’amour ». Le “mot magique” de la réforme de François, aussi énigmatique que récurrent dans ses discours, est : Synodalité. De quoi s’agit-il ? Sommaire du numéro 260 de novembre 2024 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! Nous allons voir aujourd’hui comment son discours sur les catastrophes cosmiques de la fin des temps nous transporte dans la sublimité d’une Sagesse qui n’est pas humaine. Les miracles d’Élie sont comme autant de signes pour nos temps d’apostasie. Ô Reine du Rosaire, sauvez l’Église et la France, convertissez le Saint-Père et la Russie, car nous périssons ! Cœur Immaculé de Marie, que votre Règne arrive, par le Saint-Père ! Protégez et sauvez tous ceux que nous aimons, et conduisez au Ciel toutes les âmes ! Très chéri Père céleste, qui voulez nous voir consacrés à retirer du Cœur Immaculé de Marie les épines que les hommes ingrats lui enfoncent à chaque instant ; faites que, touchés de compassion pour cet aimable Cœur, nous soyons animés d’une tendre dévotion et d’un saint zèle pour faire tout ce qui dépendra de nous pour consoler et faire connaître et aimer le Cœur Immaculé de la Mère de votre Fils, Notre-Seigneur. Pourquoi aimer Dieu de tout notre cœur, de toutes nos forces et de tout notre esprit est-il le plus grand commandement ? Quelle merveilleuse idée que cette fête de tous les saints proposés à notre admiration, à notre affection, comme modèles. Nos communautés ont fait retraite en suivant la prédication de notre Père en 1985 sur Le secret de Paray-le-monial. Ces révélations avec celles de Fatima, quelques que soient nos activités, nous ramènent immanquablement à l’œuvre primordiale exigée par le Ciel. Notre ami phalangiste Philippe Ledent a rendu paisiblement son âme à Dieu le 27 septembre 2024, entouré par les siens et assisté par les grâces promises par Notre-Dame de Fatima aux dévôts de son Cœur Immaculé. Quand l’abbé Coulomb focalise l’attention du lecteur sur les quatre mesures canoniques qui ont ponctué la vie de notre Père toute vouée à la défense de l’Église de la pureté de la foi, sans citer le moindre mot de notre Père pour expliquer le motif de ces sanctions, cela nous apparaît comme une présentation mensongère par omission. Dans le chaos apocalyptique des évènements mondiaux, le « Chemin synodal » n’a pas suscité un grand intérêt, médiatique ni populaire. Ceux-là seuls qui savent les enjeux d’une telle entreprise s’en préoccupent. Sommaire du numéro 259 d’octobre 2024 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! L’esprit de la Croix, c’est d’accepter la dureté de la vie, la pauvreté, la maladie, ce que Dieu nous envoie de rude pour la nature, parce que cela nous purifie. Il existe une voie plus parfaite qui est d’aller volontairement vers la Croix avec Jésus, pour lui être une humanité de surcroît. Regardons Charles de Foucauld, c’est vraiment comme le jeune homme riche de l’Évangile, mais à cette différence, que du jour où il comprit que Jésus existait, il comprit qu’il ne pouvait plus vivre que pour lui seul. Dans nos temps de désorientation diabolique, après avoir écouté le passage de l’Évangile de saint Marc où Notre-Seigneur proclame l’indissolubilité du mariage, il nous est bon de méditer, à l’école de notre Père, l’enseignement traditionnel de l’Église sur « ce grand sacrement ». Nous avons vu combien le Cœur de Jésus dans l’Évangile de saint Marc se révèle à la fois doux, aimant, compatissant et patient. Aujourd’hui, il nous faut comprendre que la colère de Jésus envers ceux qui empoisonnent les âmes innocentes des enfants en leur enseignant des hérésies n’est que le revers de son divin Amour. L’Église en ce 30e dimanche du temps ordinaire nous donne à lire un passage de la lettre aux Hébreux. Cette lettre aux Hébreux fait un éloge du Christ comme le Souverain Prêtre dont le sacrifice de la Croix est parfait : nouveau et éternel. Aujourd’hui, l’Église nous donne à méditer le chapitre 2e du Livre de la Sagesse qui est une révélation absolument saisissante du mystère de la Rédemption. L’évangile de ce dimanche me fait un devoir de vous parler de la Croix de Jésus et des nécessaires souffrances et renoncements que doivent consentir ses disciples, à sa suite. Pour élever pendant dix jours deux cents jeunes de la médiocrité du siècle à nos saints enthousiasmes pour la Vierge Marie, l’Église et la Patrie, il faut bien des efforts concrets de charité fraternelle, il faut des convictions et des dévotions partagées. Notre âme commune est soudée par les mille beautés, raisons et vertus de notre CRC. Saint Louis mérite bien d’être figuré dans les plus hautes verrières de la cathédrale de France, son vitrail illumine l’édifice de sa clarté. Dieu l’a voulu pour que ses rayons indiquent une voie à suivre, un idéal à poursuivre. Loin d’être étrangère à notre actualité, ou même d’être infirmée par elle, l’histoire de la France de Marie lui donne tout son sens, elle en explique la présente perversité. Sommaire du numéro 258 de septembre 2024 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! Reprenons quelques scènes de l’Évangile de saint Marc que nous avons méditées tout au long de cette année, et mettons-nous à l’écoute des battements du Cœur de Jésus. L’Église nous donne à méditer aujourd’hui un extrait de l’Évangile de saint Marc où Jésus manifeste une ardeur terrible à prendre la défense du peuple contre les fausses autorités de Jérusalem. Je ne comprends pas qu’on puisse mettre en doute l’éminente dignité de la vie religieuse. La vérité est que le Christ a voulu cet état de perfection qui consiste à tout quitter pour le suivre. L’Église a vécu de l’Eucharistie, et le fruit de cette communion quotidienne au Corps de son Époux, à son Sang Précieux, sont les trésors de sainteté, d’art et de science, de vertu et de charité que les ravages de l’apostasie présente sont en train de dissiper. Ô doux Sauveur, comment ne pas être ému de tendresse à chacune de vos paroles, mais peut-être plus qu’à toute autre, à cette promesse que vous faisiez aux Apôtres, pour les réconforter : Je ne vous laisserai pas orphelins. La Sainte Vierge assistait au discours de Capharnaüm sur le Pain de vie admirant immensément la Sagesse des paroles de Jésus, et son courage. Elle comprenait tout et était navrée de l’incompréhension des Juifs, de leur dureté de cœur et d’esprit, sachant bien qu’ils en viendraient à tuer son divin Fils. Les paroles du discours sur le « Pain de vie » dont nous poursuivons la méditation nous révèlent que Jésus est la vie et la lumière des hommes. Nous allons voir comment Jésus va de l’avant malgré l’incompréhension des juifs, afin de livrer à tous, la plénitude de la Révélation de Dieu. Comme avant-goût du pèlerinage l’an prochain à Pontevedra, en l’honneur du centenaire de la révélation de la dévotion réparatrice, vue d’ensemble de nos camps de jeunes cet été œuvrant plus efficacement au salut de la France que toutes nos agitations électorales. Bienheureux François ! La tristesse de Dieu fut son chemin de perfection, ce qui impressionna le plus son âme si pure et si sensible dans la vision de Dieu, le 13 mai. C’est le testament qu’il laissa à Lucie, c’est l’héritage qu’il laisse à ceux qui veulent embrasser la dévotion au Cœur Immaculé de Marie. Par son privilège d’une virginité perpétuelle, sa Maternité divine s’étend à tous les hommes qu’elle enfante non à la mort, comme Ève, mais au salut, c’est-à-dire à l’innocence retrouvée : maternité universelle. Jésus est ressuscité, « selon les Écritures ». C’est la grande preuve de la vérité historique d’un évènement auquel personne n’a assisté, mais qui a eu lieu en accomplissement de prophéties millénaires. C’est pourquoi, aux disciples d’Emmaüs, Jésus administre une leçon d’Écriture sainte. Dans l’Évangile, Notre Seigneur a pitié de la foule qui l’a suivi dans le désert : « J’ai pitié de cette foule ! » Notre Seigneur a aussi pitié de cette foule moderne qui prend des vacances. Après la flagellation et le couronnement d’épines, Jésus passa la nuit du jeudi au vendredi en prison, dans l’attente du supplice que Pilate, par lâcheté, avait accordé aux réclamations des juifs. « Vingt-cinq ans de vie pour porter du fruit, mais à condition que celle-ci soit déjà une sorte de mort corporelle, dont la façon doit se tirer de la consécration formulée par mère Marie du Divin Cœur. » Tout a commencé par l’exil décrété par Mgr Daucourt. Nos relations étant conçues à l’image et ressemblance de la Sainte Trinité, nous comprenons donc à quel point leur négation ou leur corruption sont offensantes à Dieu et destructrices de notre propre être, absolument contraires à notre dignité, plus précisément à notre vocation. Sommaire du numéro 257 de juillet-août 2024 de notre bulletin mensuel Il est ressuscité ! L’Église nous donne à méditer l’épître aux Éphésiens de saint Paul, pendant plusieurs dimanches de suite. Ayant vu le Christ au principe et fondement de tout sur le chemin de Damas, voyons comment saint Paul en est arrivé à prêcher une morale mystique. Comment ces gens ont-ils pu vivre trente ans avec Jésus et ne rien remarquer ? On se scandalise de l’attitude des gens de Nazareth, mais aujourd’hui même, les catholiques dans leur ensemble n’agissent-ils pas de même ? L’Église nous donne aujourd’hui à méditer le miracle de la résurrection de la fille de Jaïre. Nous allons voir à quel point ce récit est un figuratif de la résurrection de l’Église. Je vous demande, ô Saint-Esprit, de me servir de guide, d’enflammer mon cœur dans la méditation de ce miracle de la tempête apaisée, afin que cette scène d’Évangile serve à mon réconfort et à l’amélioration de ma vie. En 1996, notre Père jugeait que la conjoncture périlleuse de la France et du monde rendait nécessaire notre pèlerinage à Fatima. De même, les actualités du mois nous plongent-elles dans une angoisse que seul peut apaiser le recours au Cœur immaculé de Marie.La Ligue : Regnum Mariæ
Miette exégétique
La famille de Jésus, “ selon la chair et le sang ”La “ France de Marie ”
Introduction : Au cœur de la France de Marie, Notre-Dame de ParisUne encyclique sans destinataire : la lettre encyclique Dilexit nos du Saint-Père François sur l’amour humain et divin du Cœur de Jésus-Christ
L’Église vaincra le cancer synodal
N° 260 - Novembre 2024
La prophétie de Jésus sur la fin des temps
Les miracles du prophète Élie sont encore actuels
Nouvelle prière du matin
Litanies de réparation au Cœur Immaculé de Marie
Le secret de notre vie est dans l’amour de Dieu et du prochain
Aimer, admirer, les saints du Ciel
La Ligue : Cœur couronné d’épines
In memoriam
Philippe Ledent (1954 - 2024)Georges de Nantes
martyr de l’obéissance de la Foi« L’Esprit de vérité »
N° 259 - Octobre 2024
Trois manières de donner sa vie
À l’exemple du Père de Foucauld, quand on aime, on veut suivre celui qu’on aime
L’indissolubilité du mariage
La charité du Cœur de Jésus
Unir notre immolation au Sacrifice de Jésus
Le livre de la Sagesse annonce le mystère de la Rédemption
Souffrances et Croix, du maître et de ses disciples
La Ligue : Inséparables dans notre charité
Saint Louis, roi et croisé
La France de Marie en proie aux diaboliques
N° 258 - Septembre 2024
Le Cœur de Jésus dans l’Évangile
Controverse sur la tradition des anciens
La grâce de la vie religieuse
Notre dévotion au Cœur Eucharistique de Jésus-Marie
Je ne vous laisserai pas orphelins... Marie !
Le discours sur le pain de vie de Capharnaüm
Le discours sur le Pain de vie
La Ligue : Souvenez-vous Marie
13 juillet 1917 : troisième apparition - Le chagrin de Notre-Dame
Médiatrice universelle
L’Évangile de Jésus-Marie (10)
Résurrection - AscensionComment passer de bonnes vacances...
L’Évangile de Jésus-Marie (9)
La Passion du SeigneurCentenaire de Georges de Nantes, notre Père (6)
Vertigineuse communion des saints
N° 257 - Juillet-août 2024
La morale mystique de saint Paul
L’incrédulité des gens de Nazareth, toujours actuelle !
La résurrection de la fille de Jaïre est un figuratif de la résurrection de l’Église
La tempête apaisée
La Ligue : Objectif Fatima