Il est ressuscité !
N° 221 – Mai 2021
Rédaction : Frère Bruno Bonnet-Eymard
Faisons de saint Joseph, non pas le réparateur de nos lâchetés charnelles, mais d’abord le miroir de la vérité divine. Il est impossible que saint Joseph n’ait pas été, à l’image de Notre-Seigneur, d’abord un être de vérité, et ensuite de bonté, et ensuite de pureté. Pour expliquer l’attitude si conciliante, si bienveillante des Papes, de Jean XXIII à François, à l’égard du théologien apostat et rebelle que fut Hans Küng, il faut remonter à Vatican II. Avec plusieurs théologiens comme Karl Rahner et Joseph Ratzinger, il fut un des artisans de la révolution opérée par le Concile. Pie IX, que nous devrions pouvoir invoquer comme saint Pie IX (il sera un jour canonisé) a joué un rôle central dans le mystère de saint Joseph. Il est mort pacifié, comme il l’a dit lui-même, parce qu’il avait réussi à mieux faire connaître ce secret de Dieu le Père. Trente ans après son indépendance, l’Ukraine apparait, au plein cœur de l’Europe, comme une “ plaie béante ” capable de menacer la paix du monde, et cette plaie ne pourra se refermer qu’avec la Russie et non pas contre elle. Or la profonde division entre la “ petite ” et la “ grande ” Russie est religieuse. Nous avons célébré le 13 mai dernier, fête de l’Ascension et anniversaire de la première apparition de Notre-Dame de Fatima, le jubilé d’or de notre mère Lucie du Précieux Sang, cinquantenaire de la fondation de la communauté des Petites sœurs du Sacré-Cœur...Saint Joseph, défenseur de la foi
Georges de Nantes, defensor fidei
contre l’apostat Hans Küng et le moderniste Ratzinger-Benoît XVILa dévotion du pape Pie IX pour saint Joseph
“ Petite Russie ” sans pasteur
La Ligue : Jubilés