Samedi 28 février
Précieux Sang et roussissures
SUR le Saint Suaire, tel qu’il est, nous distinguons deux sortes de taches : les taches de sang qui sont d’une couleur carminée, et les marques de roussissures qui sont d’une couleur “ jaune paille ”. Les premières sont bien visibles à l’œil nu : elles tendent à se confondre avec la couleur monochrome des empreintes. Les clarisses les reconnurent très bien et adorèrent le Sang de leur Divin Sauveur.
De nos jours, de nombreux tests chimiques ont prouvé qu’en effet, il s’agit bien de vrai sang humain.
Quant aux marques de roussissures, elles demeurent inexpliquées du point de vue scientifique ! Elles ressemblent à des brûlures qu’un incendie aurait laissées. Mais ce n’est pas cela. En fait, la source de rayonnement est venue du corps de Jésus lui-même !
Au tombeau, il fut enveloppé froid et sanglant dans ce Linge, le soir du Vendredi saint, mais le troisième jour, le Seigneur se releva et y imprima l’éclat de sa gloire et de sa splendeur. Il y a eu « le soleil dans ce drap » : c’était Jésus ressuscitant !
Aujourd’hui, redisons souvent la prière de l’Ange : « Mon Dieu, je crois, j’adore, j’espère et je vous aime. Je vous demande pardon pour ceux qui ne croient pas, qui n’adorent pas, qui n’espèrent pas, qui ne vous aiment pas. »
Colorier un cierge.
Photographies du Saint Suaire