La Religion des Grecs
« Athéniens ! vous êtes, je le vois, les plus religieux des hommes... » (Ac 17, 22)
Introduction générale : Les lumières données aux païens.
«DIEU a aimé les hommes depuis le commencement du monde et Il a dû leur donner à tous des lumières telles, qu’ils puissent durant leur vie répondre à l’inspiration de la grâce, être remplis du Saint-Esprit et ne pas refuser ce qui leur était montré comme mystérieusement... à savoir qu’un jour viendrait Jésus, un jour viendrait Marie ! (...)
Ce ne sont pas leurs religions qui les ont sauvés, comme on l’a dit au Concile Vatican II. Un seul Nom peut sauver les hommes : c’est celui de Jésus-Christ et celui de la Vierge Marie avec Lui. Mais ces religions moitié sataniques et aussi moitié divines n’ont-elles pas été une sorte de proposition des vertus et des vices : vertus pour aimer les dieux et déesses qui les avaient si bien incarnées (pour ainsi dire), vices pour ces méchants dieux et déesses (ou hommes perdus) qui les avaient pratiqués ? » (Abbé de Nantes, 1er août 1992)
C’est ce que frère Bruno de Jésus fit découvrir aux participants du camp de la Phalange de 1992 : La Religion des Grecs. Il étudia avec eux les figuratifs de la Bible dans les œuvres du poète Homère et des trois grands tragiques grecs : Eschyle, Sophocle et Euripide.