Il est ressuscité !
N° 211 – Juillet 2020
Rédaction : Frère Bruno Bonnet-Eymard
En réponse au criminel subterfuge de la Conférence des évêques de France pour se dispenser de répondre à notre mémoire envoyé aux quatre ordinaires dont dépendent nos Maisons, préparé à partir de l’œuvre de l’abbé Georges de Nantes et portant sur le Concile Vatican II et le magistère des papes. Lorsque le pape François protégeait l’ex-cardinal Mc Carrick, en Australie le cardinal Georges Pell était livré à la vindicte publique… Article paru dans la revue de la Fraternité sacerdotale Saint-Antoine-Marie-Claret. Dans la “cathédrale de lumière” que représente l’œuvre de notre Père, ses combats pour la chrétienté et leurs justifications historiques, théologiques et mystiques, sont autant de solides arcs-boutants et contreforts qui étayent les murs de sa doctrine “totale”. Retraçons le combat de notre Père contre le “Nouvel Esprit” à l’œuvre dans l’Église, avant, pendant et après le concile Vatican II sous l’angle de sa critique des Actes du Concile qui en sont l’incarnation et dans lesquels il a identifié l’infiltration de trois hérésies – le progressisme, le modernisme et la gnose – qui ont bouleversé notre sainte religion. Les premières lignes du document épiscopal destinées à accuser notre Père d’une conduite ignominieuse, manifestent une étonnante méconnaissance de la Sainte Écriture de la part des cinq “théologiens” qui en ont été chargés par les six évêques de la commission “doctrinale” de la conférence des évêques de France ! Il y a quarante ans, notre Père déclarait : « En 1965, le Concile se terminait, les fruits que j’annonçais allaient paraître sur ce roncier. Nos fruits à nous certes sont modestes, mais ils sont bons. C’est l’œuvre fondée, ces communautés, ces maisons, cette magnifique chapelle où nous voilà rassemblés dans l’unité. Mais ce n’est pas notre œuvre, parce que c’est l’œuvre du Seigneur. »…Lettre ouverte
Bienheureux les persécutés pour la justice
Georges de Nantes, défenseur de la chrétienté
Vatican II : progressisme, modernisme, gnose.
Une mystique réparatrice
La ligue : juger l’arbre à ses fruits