HISTOIRE SAINTE DE FRANCE
Le gouvernement de Vichy
CEUX qui, en 1945, ont jugé et condamné à mort le Maréchal Pétain, sauveur de la France, pour intelligences avec l'ennemi, manœuvres criminelles et complot contre les institutions républicaines, se jugeaient eux-mêmes.
Les témoins à charge avaient besoin de faire oublier leurs propres fautes. Il fallait que l'accusé soit condamné, pour que triomphent les puissants de l'heure. Il fallait que l'armistice soit un crime, pour que la rébellion du général de Gaulle en 1940 soit reconnue légitime.
Par son attitude souveraine et sa décision de ne pas intervenir dans les débats, mais de s'en remettre au jugement de Dieu et de l'Histoire, le Maréchal s'était en quelque sorte mis hors d'atteinte de ses adversaires fanatiques et partisans. Soixante ans après, le mystère de sa personne demeure.
En rappelant les faits et la vérité qui s'en dégage, nous voudrions tirer “ Les leçons de 1940 ”, à l'école de notre Père, l'abbé de Nantes.
- II. La seule France (1940-1942)
- III. La Révolution nationale
- IV. L'Église et la Révolution nationale
- V. Honneur et sacrifice de la “ Royale ”
- VI. Le souverain légitime et le rebelle
- VII. L’Armée d’Afrique, armée du Maréchal
- VIII. Le procès inique
- IX. Victime pour son peuple
- Annexe 1. Une résistance contrôlée par le Maréchal Pétain
- Annexe 2. Quand Vichy fusillait des espions nazis