Politique totale

La nation, réalité politique fondamentale

INTRODUCTION

LA Politique (la vraie, non l’électorale) sera toujours la science de la cité. Même si la cité s’est considérablement étendue et “ complexifiée ”, elle comprendra toujours deux grandes parties : la science de la constitution la meilleure (...), et l’art du gouvernement qui est tout dans la sauvegarde du bien commun par l’autorité. La science vise principalement l’institution du gouvernement de la cité, et l’art vise les décisions conjoncturelles, l’action du gouvernement en toute situation nouvelle, en tout péril de chaque jour, pour conserver les biens majeurs de la cité, l’ordre et la paix, et pour en garantir (autant qu’il est possible aux simples mortels) les traditions, le patrimoine spirituel et temporel, la prospérité.

Ces définitions et cette distinction des matières seront les bases et le plan de notre étude, car ce que les Grecs ont inventé demeure (sans grande modification autre que religieuse) la vérité réelle et idéale de tout ordre humain (...).

La politique a des affinités de vocabulaire, mais aussi de contenu intellectuel et objectif, avec les mots voisins de civilisation et de culture (...). La civilisation est certes le produit d’une nature et d’une culture, mais non quelconques ni sauvages, car issus de peuples « policés ». Ce dernier mot nous ramène bel et bien au sens exact de la « politique » d’une société où règne un ordre, où s’exerce un goût, où opèrent des principes, des lois supérieures qui l’emportent généralement sur l’anarchie et les violences brutes des idées, des passions, des instincts individuels. La politique est ainsi parfaitement définie comme la pensée et l’action qui visent à faire naître, exister, prospérer et durer les sociétés humaines en vue de leur permettre d’accéder à la civilisation. Ces sociétés civilisées s’élèveront d’autant que s’y maintiendront l’ordre et la paix, sans lesquels ne paraissent ni ne subsistent aucun bien (...).

Puisque ce sont les lois politiques qui protègent le bien humain suprême de la civilisation, et avec lui le bien divin de la religion, la Politique est donc prioritaire. Il convient dès maintenant d’identifier l’objet fondamental de la politique, et de reconnaître que dans notre civilisation humaine avancée, il ne s’agit ni plus ni moins que de LA NATION. (...).

LA NATION, FAIT DE NATURE ET ŒUVRE D’ART

Fermant la parenthèse insensée ouverte il y a deux siècles par Jean-Jacques Rousseau, Charles Maurras a montré de façon décisive que la société ne naît pas de l’homme, de ses volontés arbitraires, de ses définitions statutaires des droits et des devoirs, contrats soi-disant à tout moment révocables, passés entre individus autosuffisants, autocréateurs ! C’est bel et bien l’homme qui naît de la société. Et la société lui est si nécessaire qu’il ne peut jamais s’en émanciper totalement. Elle lui est si aimable, elle est de lui si aimée qu’il ne songe à rien d’autre, à rien de plus beau qu’à en profiter, puis à la prolonger, l’agrandir, la perfectionner en la marquant au passage de sa griffe personnelle (...).

Nous sommes d’abord enfants et héritiers, avant d’être pères et fondateurs. Telles sont les « infrastructures de l’état social » : naissance, mariage, ou mariage et naissances. Au total le résultat est le même : ce sont des familles qui précèdent logiquement et historiquement la communauté plus vaste, objet de la Politique. Il n’empêche ! Là est donc le prototype de la vie sociale : l’être humain est filial, conjugal et parental, et c’est pourquoi Aristote le définit justement un « animal politique » ; non l’inverse.

LA NATION ŒUVRE D’ART

Peuple, mot que nous employons pour désigner la matière politique à son degré le plus bas d’organisation, et Patrie, qui évoque un degré supérieur de civilisation et un attachement viscéral à la terre de ses pères – Right or Wrong, my country – peuvent se concevoir et subsister à travers les âges, sans principe organisateur, sans autorité souveraine.

Le nom très noble de « nation » sert communément sans qu’il y ait là pourtant une règle reconnue, un accord unanime, à désigner ces communautés humaines supérieurement organisées et nettement limitées, séparées des autres, qui garantissent à leurs membres le maximum d’ordre politique et de paix (...). De tels avantages, remarquons-le bien, ne sont assurés que par la naissance, la présence, la puissance d’un État souverain de quelque nom qu’on le désigne, âme, principe organisateur de la communauté politique sans lequel la nation n’est rien, par lequel elle est tout et elle peut tout. Sans État point de nation, comme réciproquement point d’État sans nation (...).

Conserver l’acquis d’une civilisation, porter à la perfection de l’existence nationale un peuple, une patrie, est une œuvre d’art, de raison, de bravoure, de force et d’amour (...). Savoir tout ce qui concerne la vie nationale et y pourvoir, telle est la double tâche de la science et de l’art politiques (...).

LA NATION ŒUVRE DE LIBERTÉ, DE JUSTICE ET D’AMOUR

Une nation n’est pas un gros animal, elle ne résulte pas d’un principe unique, d’une âme commune, diffuse dans la multitude. Elle est morale. Elle repose sur un libre et stable accord du peuple avec le pouvoir qui le gouverne (...). Elle subsiste par le consentement tacite, la libre adhésion et le dévouement de la plus grande part et de la plus saine partie de ses citoyens.

Comment rendre compte de cette heureuse disposition de la multitude ? Qu’est-ce qui la fait obéir au pouvoir qui la gouverne et concourir ainsi au bien commun national ?

La démonstration d’Aristote, selon laquelle la partie doit se sacrifier aux intérêts du tout avec la même instantanéité que la main protège instinctivement du coup la tête, a beau être sans cesse recopiée, elle est fausse (...). Les fascismes ont choisi de glorifier sans mesure l’être national, célébrer sa grandeur historique, son destin futur (...). Ces moyens violents, écrasants, massifs et métaphysiques mis en œuvre pour obtenir la sujétion des citoyens à l’État national répugnaient à Charles Maurras (...).

De tous les nationalismes contemporains, celui de Maurras est le seul qui n’ait empiété ni sur la religion ni sur la liberté individuelle, reposant inébranlablement sur un ordre de raisons et de sentiments naturels aux Français (...). Ce n’est pas trahir le maurrassisme, mais l’accomplir que d’ajouter à son nationalisme naturel de hautes raisons métaphysiques, et d’y appliquer les ressorts suprêmes de la mystique catholique.

LA NATION FONDÉE SUR LE ROC D’UNE MÉTAPHYSIQUE TOTALE...

Aux antipodes du substantialisme aristotélicien et de son dernier avatar, le personnalisme de Karol Wojtyła (...), notre Métaphysique totale (cf. CRC nos 170-182) donne son explication suprême à la volupté de l’humble servante qui se dévoue pour son maître, comme au dévouement du prince à son peuple, et à la soif qui dévore le soldat de donner sa vie pour la Patrie (...). Selon cette métaphysique relationnelle, l’être créé n’existe que dans des rapports au monde qui constituent son individualité et sa singularité existentielles, et n’ayant de vocation qu’à y être constant, à y être fidèle, mécaniquement, instinctivement ou librement. C’est ainsi que l’homme, « animal raisonnable », mais aussi et d’abord « créature politique », cherche naturellement, divinement, dans ses relations aux autres, son contentement, sa « volupté » selon Maurras, sa « félicité » tout à l’inverse de celle à laquelle prétend Karol Wojtyła. Loin de s’accomplir par son propre acte solipsiste et d’y trouver sa félicité, c’est par ses frères humains, avec eux et, merveille plus grande encore dans ses frères, ses proches, sa famille, sa nation, et pour eux tous qu’il trouve enfin son accomplissement et sa béatitude commençante.

L’adhésion de la personne à la société dépasse donc du tout au tout le domaine de la sociobiologie chère à Konrad Lorenz (cf. CRC n° 164). Elle n’est pas un instinct animal ; elle n’est pas un pur devoir moral, ni même une contrainte purement matérielle. C’est un appétit, un besoin, un désir de tout l’être de s’ouvrir aux autres et au monde, et à Dieu immensément, infiniment, pour « être plus », non en soi, mais ensemble avec les autres, en union, en communauté, réalité indicible qui est le tout de l’homme terrestre et qui annonce, préfigure, sa communion totale avec Dieu dans l’éternité.

Telle est la racine ontologique de l’amitié, de l’amour, de la charité, donc du patriotisme et plus fermement, du nationalisme. Une fois connue la nature foncièrement « relationnelle » de l’être créé, s’expliquent aisément son élan, son dévouement communautaires, qu’il n’est nul besoin de provoquer ni d’exciter follement par une mystique fasciste ou collectiviste (...).

LA NATION, ŒUVRE DE VERTU ET DE GRÂCE

Ainsi, avant qu’il soit parlé de révélation et de religion, l’acte créateur est donc source de l’ordre politique, forme et raison de la vertu politique en tant qu’elle est don de soi aux autres, accomplissement de la vocation de chacun dans et par, avec et pour la plus vaste communauté humaine où elle puisse s’exercer au temporel, la nation.

Il nous faut maintenant, de ces hauteurs où tout le détail des réalités contingentes s’estompe, revenir au fait politique de l’existence des nations. Pourquoi des nations et non pas seulement des familles, ou alors une seule communauté universelle, l’Humanité ? Comment expliquer ce découpage irrationnel, incertain, et cette inégalité des peuples, leurs réussites, leurs échecs ? On invoquera le hasard. Mais par-derrière le hasard, Maurras a découvert la vertu, la force des fondateurs, des chefs, des rois, et dans leur réussite, nous autres métaphysiciens, chrétiens, nous discernons ou découvrons même la puissance de la grâce d’un Dieu qui aime les hommes (...).

L’ALLIANCE DU CHEF ET DU CORPS SOCIAL

Cette lente « corporation » d’un peuple sous l’influence d’une autorité d’abord conquérante puis organisatrice, trouva son illustration, peut-être la meilleure, dans la conquête des Gaules par Rome et leur assimilation si aisée et si profondément réussie qu’enfin notre nation se perçut gallo-romaine. De telles évolutions ne se laissent pas enfermer dans un raisonnement déductif. C’est l’histoire qui en donne l’intelligence, qui en retient les événements majeurs, qui en fait admirer le déploiement, la réussite exceptionnelle. La formation de la France en est un exemple si parfait qu’il peut être proposé, encore de nos jours, à l’imitation de maint peuple.

Mais le plus admirable, en certains cas très singuliers, comme ceux d’Athènes, de la Rome antique et de la France monarchique, est la conscience que les juristes, ou les philosophes ou les clercs, ont gardée, en toutes ses étapes, de la formation de l’idée nationale, de la croissance de la nation, au point de l’encadrer et de la conduire de leurs lois, ainsi de la commander par l’œuvre de leur pure intelligence, et de prétendre l’orienter en la définissant (...).

LA NATION, CANTON DU CORPS MYSTIQUE DU CHRIST

J’entretenais cet été la résolution, non seulement d’adosser la politique naturelle de Maurras à notre Métaphysique totale, ce qui était déjà prometteur, mais de joindre cette haute sagesse, cet art royal à la mystique chrétienne, catholique, qui en vérité l’avait, pendant mille ans et plus, instituée, développée et conservée dans notre royaume de France. Ainsi pourrais-je enseigner une Politique totale digne d’entraîner, d’enthousiasmer même les esprits les plus prévenus contre ce qu’ils appellent, avec quel écœurement justifié : « la politique ».

Mais je m’inquiétais d’avoir à retrouver et restaurer moi-même cette Politique sacrée quand m’est arrivé, en hommage de l’auteur, l’indispensable ouvrage de Jean Barbey, La Fonction royale, Essence et légitimité, d’après les Tractatus de Jean de Terrevermeille (éd. N. E. L., 410 p. ) (...). De Jean de Terrevermeille à Charles Maurras et aux 150 Points de notre Phalange catholique, royaliste et communale, c’est toute notre Politique totale qui se trouve constituée (...).

JEAN DE TERREVERMEILLE (1370 ? -1430)

C’est durant ce terrible hiver 1418-1419, où Jeanne la Pucelle voit la guerre civile atteindre Domrémy, que notre Jean de Terrevermeille compose et publie ses traités, dont le titre, dans son editio princeps, proclame le légitimisme sans faille : Johannes de Terra Rubea contra rebelles suorum regum » (p. 93). Son intention est de dire le droit royal, si clairement, si fortement argumenté que s’en trouve démontré à tous les bons et loyaux sujets de ce Royaume, où est leur souverain, et où est la rébellion odieuse, haïssable (...).

SA DOCTRINE POLITIQUE

Le premier objet de la politique pour Terrevermeille aussi, c’est le royaume, et sa première fin : « l’ordre du Royaume », d’où résulte et qu’entretient à son tour le « bien commun ». Cela n’advient que par l’harmonie des membres du corps social et leur obéissance à son chef, en l’espèce : à son Roi et au Dauphin son fils. C’est déjà une révolution dans la science politique de l’époque, et elle est de grande conséquence. Ce n’est plus l’auctoritas (autrement dit le pouvoir, la domination) qui est première (...), mais c’est le corpus politicum : la nation (...).

Deuxième révolution : Terrevermeille considère la nation comme un « corpus mysticum » (...). Le « corpus » ou (selon le mot d’une application très générale au Moyen Âge) l’ « universitas » résulte de l’unité spirituelle réalisée en une « multitude de membres divers ».

Seulement, notre légiste va plus loin sans paraître conscient de sa hardiesse surnaturelle. Il compare, voire il assimile ce « corps mystique ou politique du royaume » au... « Corps mystique du Christ » (p. 174). C’est pour marquer le rôle considérable, déterminant, dans l’un comme dans l’autre, du « caput », du chef dans la vie et le gouvernement du « corpus ». L’Église est une « respublica » idéale, le modèle du Royaume (...).

MYSTICISME POLITIQUE DÉLIRANT ?

Qu’est-ce donc que ce mysticisme politique ? C’est tout ou rien. Ou bien cette doctrine est une simple comparaison entre deux sociétés, entre deux principes de gouvernement, entre deux influx de vie, ici la grâce divine et là, quoi ? la grâce royale ? C’est un mot, c’est une idée vague, rien. Et toute la construction de Terrevermeille s’écroule. Ou bien c’est une assimilation, une intégration de l’un à l’autre, une participation du royaume de France à la vie même de l’Église et alors c’est magnifique, mais cela ne parle qu’à la foi des chrétiens, j’ajoute : à la foi des seuls chrétiens catholiques, catholiques romains qui plus est, et encore des seuls qui aient une ardeur sincère dans leurs convictions surnaturelles : ceux qui croient à la vie de la grâce distribuée par les sacrements de l’Église et destinée à pénétrer tout l’être individuel et tout l’être social jusqu’en ses coins et recoins, ses instincts les plus élémentaires, ses activités les plus terrestres.

Une politique mystique, c’est de l’illuminisme, c’est charlatanesque, ou alors c’est vrai, mais il faut être soi-même persuadé de la réalité du mysticisme en question pour en accepter l’invasion dans le domaine qui lui demeure le plus hostile, celui de la politique.

LE ROYAUME DE FRANCE, PARTIE DU CORPS MYSTIQUE DU CHRIST

Aurais-je osé m’engager totalement, de moi-même ? Et faire du roi de France un distributeur de la grâce divine, à l’instar du Pape et des évêques, souverainement dans son royaume (...) ? Jean de Terrevermeille le pensait, ou alors toute sa thèse n’est qu’enflure rhétorique, et ce n’est pas son genre. Mais lui-même, légiste sage et prudent, se faisait l’écho d’une tradition immémoriale et générale, d’une pensée commune, reconnaissant à toute autorité politique une aide divine, mais très spécialement au roi de France, en vertu du « sacrement » de son sacre à Reims, par le saint chrême de la sainte ampoule, un pouvoir quasi épiscopal de don de la grâce, de gouvernement aidé d’En-Haut, et de miracle même, le miracle des écrouelles en preuve de cette assistance divine (...).

Or voici l’inouï. Le juriste légitimiste avait dit le droit en cette noire année 1419, et prouvé la légitimité politique du seul dauphin Charles. Et dix ans ne s’étaient pas écoulés que sainte Jeanne d’Arc proclamait à son tour, mais « en nom Dieu », cette même légitimité, apprise de ses Voix, que prouveraient ses exploits miraculeux quand elle délivrerait Orléans et conduirait son « gentil Dauphin et droicturier seigneur » se faire sacrer par l’Église à Reims. C’est jusque sur le bûcher de Rouen que sainte Jehanne d’Arc témoignera de la vérité divine de cette politique mystique : « Jésus ! Jésus !... Non, mes Voix ne m’ont pas trompée. » La mystique la plus certaine et la plus pure venait conforter la loi dynastique évidente et le droit public reconnu (...).

Si même Jean Bodin et les autres grands politiques de la Renaissance n’ont plus prêté attention à ce mysticisme, ce dont je ne jurerais d’ailleurs pas. Si le protestant Hotman en a malencontreusement expurgé sa réédition des Tractatus, dont son hérésie le rendait absolument incapable de croire la haute mysticité. Si le scientisme et le laïcisme, enfin le sécularisme moderne ont méthodiquement chassé le « surnaturel », même le plus avéré, du domaine de leur science et de leurs pouvoirs, et de toute la vie des hommes, autant qu’il leur a été donné, pour le remplacer par quelles fables ! quels mensonges ! quelles utopies ! Si même c’est l’Église, où triomphe le « modernisme », qui rejette la mystique hors du domaine politique, il n’empêche que Jean de Terrevermeille et notre Jean Barbey disent la vérité, la merveilleuse et surnaturelle vérité.

J’en sais un témoin, digne de foi, de notre temps, et qui, étranger, ne peut être suspecté de chauvinisme. C’est saint Pie X (...). Confirmant la doctrine politique et mystique de notre Terrevermeille, ô merveille, il proclamait la France « Fille aînée de l’Église ». Mais pour qu’on n’accueillît pas une telle parole comme un mot heureux, une métaphore aimable, il ajoutait pour les théologiens, les politiques et les juristes, pour les mystiques enfin, cette absolue précision : « La France, nation prédestinée, est partie intégrante de l’Église. » (Lettre Une fois encore, 6 janvier 1907 ; Dal-Gal, p. 339) (...).

Abbé Georges de Nantes
Extraits de la conférence du 20 octobre 1983

  • Politique totale. I. La nation, réalité politique fondamentale, CRC tome 15, n° 195, décembre 1983, p. 3-13
En audio :
  • P 2 : La nation, réalité politique fondamentale, mutualité 1983, 1 h (aud.)

Références complémentaires :

  • Les 150 points de la phalange,
    • point n° 55 : La nation, création chrétienne
    • point n° 73 : Les nations sont mortelles
    • point n° 76 : Le nationalisme catholique français
    • point n° 104 : Une écologie nationaliste
    • (aud/vidéo : PC 41 : Les 150 points, commentaire littéral, 15 h)
La nation française :
  • Dans le tome 8 de La Contre-réforme Catholique au XXe siècle :
    • Les grands débats de ce temps. La mission catholique de la France, CRC n° 107, juillet 1976, p. 3-12 (en audio : D 10)
    • Authenticité française, CRC n° 112, Decembre 1976, p. 1-22 (en audio : AF 1 : Grande réunion de la mutualité)
Défense du nationalisme français sous Pie XII :
  • AMICUS, un prêtre de France, Éditions CRC, 2008, 286 pages.
    • 16. Sur le nationalisme « exagéré » (29 décembre 1949)
    • 18. Ralliement à la République ou au nationalisme ? (12 janvier 1950)
    • 24. Le nationalisme français seul condamné (février 1950 – article refusé)
    • 25. Le devoir de nationalisme (23 février 1950)
    • 30. Chrétiens ! soyez inquiets mais républicains (30 mars 1950)
    • 95. Assez de ralliements ! (10 août 1951)