Nous méditons la Présentation de l’Enfant-Jésus au Temple comme un mystère joyeux du Rosaire, mais quelle douleur ! De ce jour, la Vierge Marie n’a plus connu un seul instant de sérénité sur la terre. La pensée de la mort de son Fils ne l’a plus quittée, à laquelle elle s’associerait, en Corédemptrice. Mettons-nous à l’école de frère Bruno pour faire la connaissance de l’évangéliste saint Luc, et de sa vocation particulière. L’Évangile de saint Jean nous parle de la Vierge Marie deux fois seulement : Au début du ministère public de Jésus à Cana, et à la fin au pied de la Croix. Or, dans ces deux scènes, la Vierge Marie joue, qu’on le veuille ou non, un rôle extraordinaire. Dans cette théophanie du baptême de Notre-Seigneur, les trois Personnes divines se manifestent à saint Jean-Baptiste. Les Mages vont à Jérusalem conduits par une étoile. Ils arrivent dans cette ville qui paraît aux yeux de l’évangéliste, maléfique, et comme le centre de l’Antéchrist.La présentation de Jésus au Temple
L’Évangile de Saint Luc : un exposé suivi, rigoureusement historique.
Les Noces de Cana : prélude du grand mystère de la Rédemption.
Le baptême du Sauveur
Jésus reconnu par les païens, rejeté par Jérusalem