Aujourd’hui, c’est l’ouverture du drame de la Passion. Entrons dans le cœur de Notre-Seigneur pour revivre ces événements avec Lui pendant les jours saints. Méditons cet évangile de la femme adultère avec beaucoup d’attention, de tendresse et de dévotion envers le très unique et très miséricordieux Cœur de Jésus et de Marie. C’est une bonne introduction aux offices de la Semaine Sainte. Les paraboles de l’Évangile sont splendides par leur douceur, leur simplicité et leur noblesse. Elles révèlent la distinction morale et intellectuelle de Jésus, son immense bonté. Mais ce faisant, il va provoquer la jalousie homicide des scribes et des pharisiens. En ce troisième dimanche de Carême, l’Église nous donne à méditer le récit du Buisson ardent. Voyons comment ce buisson qui brûle sans se consumer est un figuratif de la virginité perpétuelle de Marie. En ce deuxième dimanche du carême, méditons sur la Transfiguration de Notre-Seigneur qui est un événement historique. Les Apôtres ont vu la transformation merveilleuse de ce Jésus qui tout d’un coup est devenu resplendissant de lumière, spectacle d’une beauté ineffable. Le Carême inaugure le grand mystère de la conversion de nos âmes et de l’humanité, et l’Église nous engage dans cette lutte ascétique qui doit nous préparer à l’union très intime avec Jésus dans sa mort et sa Résurrection. L’Église en ce 8e dimanche du temps ordinaire nous donne à méditer ce petit passage de l’Évangile de saint Luc où Notre Seigneur nous donne un avertissement salutaire lorsqu’il dit : « Méfiez-vous des mauvais bergers. Vous les reconnaîtrez à leurs fruits ». De quoi s’agit-il ? Que veut dire Notre Seigneur ? En attendant le retour du Christ, les Apôtres doivent faire de tous les peuples des disciples, en leur prêchant une doctrine sublime commandée par un amour souverain de Dieu, si vrai, si fort, qu’il commande toutes les pensées, les volontés, les actions des fils du Royaume... Les béatitudes du sermon sur la montagne introduisent le discours inaugural de Notre-Seigneur, le “ manifeste ” de son Royaume nouveau, transmis par saint Luc. La méditation de ce récit évangélique de la pêche miraculeuse nous fait découvrir la tendresse, la douceur, la suavité de Notre Seigneur au milieu de ses disciples lorsque se produit cet événement historique qui a été le trésor de leur vie. Nous méditons la Présentation de l’Enfant-Jésus au Temple comme un mystère joyeux du Rosaire, mais quelle douleur ! De ce jour, la Vierge Marie n’a plus connu un seul instant de sérénité sur la terre. La pensée de la mort de son Fils ne l’a plus quittée, à laquelle elle s’associerait, en Corédemptrice. Mettons-nous à l’école de frère Bruno pour faire la connaissance de l’évangéliste saint Luc, et de sa vocation particulière. L’Évangile de saint Jean nous parle de la Vierge Marie deux fois seulement : Au début du ministère public de Jésus à Cana, et à la fin au pied de la Croix. Or, dans ces deux scènes, la Vierge Marie joue, qu’on le veuille ou non, un rôle extraordinaire. Dans cette théophanie du baptême de Notre-Seigneur, les trois Personnes divines se manifestent à saint Jean-Baptiste. Les Mages vont à Jérusalem conduits par une étoile. Ils arrivent dans cette ville qui paraît aux yeux de l’évangéliste, maléfique, et comme le centre de l’Antéchrist.Jésus, roi de vérité, est acclamé dans Jérusalem
Jésus fait miséricorde à la femme adultère
La parabole de l'enfant prodigue
Le buisson ardent, figure de la virginité perpétuelle de Marie
La Transfiguration est un événement historique
Pourquoi faire carême ?
Vous les reconnaîtrez à leurs fruits !
La doctrine sublime du christianisme
Le “ sermon sur la montagne ”, discours inaugural
La douceur du Cœur de Jésus envers ses premiers disciples
La présentation de Jésus au Temple
L’Évangile de Saint Luc : un exposé suivi, rigoureusement historique.
Les Noces de Cana : prélude du grand mystère de la Rédemption.
Le baptême du Sauveur
Jésus reconnu par les païens, rejeté par Jérusalem