MÉDITATIONS
de l'année 2021
Ô Saint Enfant Jésus, faites-nous petits et faibles, désarmés et misérables comme Vous. Car on n’est jamais trop petit quand il est question de vous être une humanité de surcroît, un peuple choisi, une famille dévouée, digne enfin par sa petitesse même de Vous revêtir d’un étincelant manteau de gloire ! Dans les Appels du Message de Fatima, Lucie écrit que nous n’obtiendrons la Paix que grâce à une brûlante dévotion au Cœur Immaculé de Marie. Pour obtenir cette faveur inestimable, mettons-nous à l’école de sœur Lucie et de notre frère Bruno, et méditons attentivement le récit de l’Annonciation que l’Église nous donne à lire en ce 4e dimanche de l’Avent. Après nous avoir fait méditer sur la longue attente des siècles, l’Église, en ce troisième dimanche de l’Avent, désire nous donner comme une aurore de ce jour merveilleux de Noël, et nous invite à nous réjouir. Nous sommes dans le temps de l’Avent, et nous fêtons aujourd’hui le privilège incomparable de l’Immaculée Conception de notre Mère du Ciel. En ce jour de fête, si cher à nos cœurs, cherchons à pénétrer le secret du Cœur de Marie-Immaculée. L’Évangile de ce dimanche est d’une grande précision historique. Toutefois, il ne faudrait pas pour autant nous imaginer tout savoir, et nous dispenser de comprendre la psychologie des personnages. Méditons donc sur la personnalité extraordinaire du Précurseur. Puisque l’année liturgique recommence, la voix de notre Père céleste va nous être adressée de manière plus vive afin que nous nous engagions dans la cohorte des saints, c’est-à-dire dans le corps mystique qui, sans cesse, pérégrine vers le Ciel en repassant par les grands événements de l’histoire du salut tout au long d’une année liturgique. Sœur Lucie, la voyante de Fatima, a dit au Père Fuentes que la Sainte Vierge lui avait fait voir que nous sommes dans les derniers temps du monde : « Elle ne me l’a pas dit, mais Elle me l’a fait voir », « et principalement du fait que le démon livre son ultime combat contre la Sainte Vierge », a-t-elle expliqué. Un combat qui a commencé avec la création du monde... Dans ce discours eschatologique qui évoque la Parousie à venir, Jésus a annoncé en même temps la ruine de Jérusalem infidèle et, au-delà, la ruine du Monde apostat. D’où la formidable actualité permanente du drame évangélique. Reprenons quelques scènes de l’Évangile de saint Marc que nous avons méditées tout au long de cette année, et mettons-nous à l’écoute des battements du Cœur de Jésus. Pourquoi ne pensons-nous pas sans cesse au Ciel ? Pourquoi n’est-il pas l’attraction la plus puissante de notre vie ? Car au Ciel est la vraie vie, durable, définitive, dont celle-ci n’est que le prologue. Le désir du Ciel est un don de Dieu qui réjouit l’âme dans sa jeunesse et devient son trésor caché dans l’âge mûr, son espérance immense au seuil de la mort. « L’Évangile me montra que le premier commandement est d’aimer Dieu de tout son cœur et qu’il fallait tout enfermer dans l’amour. Chacun sait que l’amour a pour premier effet l’imitation ; il restait donc à entrer dans l’Ordre où je trouverais la plus exacte imitation du Christ ». Telle est, dans son extraordinaire clarté et sa rigueur, la résolution de Charles de Foucauld dès sa conversion. En ces derniers dimanches de l’année liturgique, l’Église nous donne à méditer l’Épître aux Hébreux qui fait un éloge de Jésus en tant que souverain Prêtre, choisi par Dieu pour offrir le sacrifice nouveau et éternel qui n’est rien d’autre que le saint Sacrifice de la Messe renouvelé chaque jour sur nos autels, unique Espérance de notre salut. Le quatrième chant du Serviteur d’Isaïe que l’Église nous offre à méditer ce matin est un récit prophétique de la Passion écrit six siècles à l’avance ! Écoutons notre Père nous en faire le commentaire. Pendant notre retraite, nous avons médité sur les regards de Jésus pour convaincre les fidèles distraits que Jésus avait un Cœur débordant de tendresse et d’amitié, quelquefois d’admiration et d’encouragement, à tel point qu’un seul de ses regards peut conduire à la conversion. Mais ici, douleur cuisante et cruelle, le cœur de Jésus est mis en échec. Dans nos temps de désorientation diabolique, après avoir écouté le passage de l’Évangile de saint Marc où Notre-Seigneur proclame l’indissolubilité du mariage, il nous est bon de méditer, à l’école de notre Père, l’enseignement traditionnel de l’Église sur « ce grand sacrement ». Ce passage de l’Évangile de saint Marc nous montre que Jésus n’est ni un disciple de Tolstoï ni un non-violent. Notre-Seigneur parlant au nom de son Père du Ciel, il connaît le fond de toutes choses. Il parle avec tranquillité et fermeté, sans aucune atténuation, parce que c’est vrai et que cette vérité est tragique. À ses Apôtres enfermés dans l’orgueil de l’Ancien Testament, Jésus veut apprendre l’esprit d’enfance spirituelle, qui est la nouvelle morale évangélique. Ce troisième Chant du Serviteur que l’Église propose à notre méditation aujourd’hui prévoit que le Messie sera un serviteur souffrant et qu’il sera rejeté par son peuple. Cette bouleversante prophétie d’Isaïe annonce, six cents ans à l’avance, les événements de la Passion que Jésus a voulu souffrir pour opérer notre rédemption. C’est avec sagesse que l’Église nous rappelle qu’il vaut mieux être infirme et aller au Ciel plutôt que d’avoir tous ses sens, de pécher, et d’aller finalement en enfer. Elle considère avec Notre-Seigneur que les infirmités dont nous souffrons sont une bénédiction de Dieu, un effet de son adorable et aimable volonté qui nous soustrait aux tentations du monde. J’ “admire” que nos évêques laissent enseigner dans leurs nouveaux catéchismes que les pharisiens étaient des gens « très pieux, très purs, très exemplaires » (!), et d’ailleurs que Jésus lui-même était un élève des pharisiens ! Si cet enseignement est en pleine rupture et contradiction avec les Évangiles et toute la Tradition, il est en revanche en plein accord avec Vatican II. Jésus, que vous êtes méconnu ! Le portrait qu’on trace maintenant de vous est décevant, malgré les beaux récits évangéliques dont il semble que beaucoup aient perdu l’intelligence. Ils font de vous un rêveur, un faible, un « non-violent » qui passa sans trop de bruit et d’ennuis à l’écart des grands de ce monde, et de la politique et de la guerre. En ce jour de la fête de l’Assomption, il nous est bon de nous mettre à l’école de notre Père, dont l’enseignement sur la pureté positive nous incite à faire notre demeure dans le Cœur Immaculé de Marie. Dans un sermon sur la « divine Eucharistie », saint Pierre-Julien Eymard nous incite à communier pour remédier à notre tristesse, et pour trouver en Jésus-Hostie un avant-goût du bonheur éternel du Ciel. En ce 18e dimanche du Temps ordinaire, l’Église nous donne à méditer le chapitre 6e de saint Jean où Jésus annonce qu’il est le Pain de vie, le Pain vivant descendu du Ciel pour donner la vie au monde. Saint Pierre-Julien Eymard nous fait remarquer que personne ne pourrait se donner un nom semblable, sinon le Fils de Dieu Lui-même désirant se donner à nous en nourriture. « Nous sommes dans un temps de désorientation diabolique » disait sœur Lucie. Nous vivons au milieu d’un monde où tout est fait pour vous faire perdre la foi ! Pour être sauvés et aller au Ciel, il nous faut donc réagir et promettre de garder la foi catholique envers et contre toutes les entreprises du diable, prince de ce monde. L’Évangile de ce dimanche nous révèle la pitié de Jésus, notre vrai et bon Pasteur, pour les « brebis sans berger » qu’il se met « à enseigner longuement ». L’Église nous donne à méditer l’épître aux Éphésiens de saint Paul, pendant plusieurs dimanches de suite. Ayant vu le Christ au principe et fondement de tout sur le chemin de Damas, voyons comment saint Paul en est arrivé à prêcher une morale mystique. Les commentateurs notent que Notre-Seigneur connaît ici, à Nazareth, son premier échec. Ayant connu Jésus pendant trente ans, ces gens sont incapables de produire un acte de foi ; c’est pourquoi Jésus ne pourra faire aucun miracle chez eux. En ce 13e dimanche du temps ordinaire, l’Église nous donne à méditer, dans l’Évangile de saint Marc, l’événement prodigieux de la résurrection de la fille de Jaïre. Mettons-nous à l’école de sœur Lucie pour en découvrir la signification profonde. Après avoir révélé à ses apôtres le sens de plusieurs paraboles, Jésus va en ajouter une, mais qui est cette fois-ci un événement, un geste prophétique réclamant leur foi : celui de la tempête apaisée. Dans ce passage de la 2e épître aux Corinthiens que l’Église nous donne à méditer ce matin, saint Paul nous parle de la mort, du jugement et de l’éternité. Il nous est bon de nous mettre à l’école de notre Père pour méditer sur les fins dernières de notre existence terrestre et envisager, à sa suite, comment nous pourrions faire de notre mort un acte de parfait amour. Ô Sacré-Cœur de Jésus, faut-il donc que la terre tremble sur ses fondements, que l’Église soit comme en ruine et le trône de Pierre ébranlé ? Faut-il que nos Patries soient près de l’abîme et jetées dans un torrent de corruption, pour que nous nous tournions vraiment vers Vous dans la pénitence et dans l’amour sincère ? Le couronnement de l’œuvre de réhabilitation divine opérée par la Communion, c’est d’établir une union constante entre Dieu et nous. Si Dieu nous aime jusqu’à se donner à nous, il veut que nous répondions à cet amour par une union de vie, et il nous en apporte la grâce et la puissance. Les mystères de notre religion sont les divines vérités que Dieu lui-même a fait connaître aux hommes, qu’Il a révélées par ses Prophètes et ses Apôtres, mais surtout par son Fils Jésus-Christ qui les a toutes enseignées durant sa vie terrestre. En ce jour de la Pentecôte, au moment où l’Église est attaquée de toutes parts, il nous est bon de méditer sur notre appartenance à l’Église, « objet de toutes nos prières et de notre admiration ». Cette Lettre à nos amis de notre Père est une véritable profession de foi en la sainteté de l’Église qui justifie son opposition à la réforme et à l’esprit de repentance qui ont fait de notre Église post-conciliaire « une Ville à moitié en ruines ». La réalité de l’Ascension de Notre-Seigneur est aujourd’hui communément niée. Mais les Actes des Apôtres, écrits par ce Grec distingué qu’est saint Luc, qui a fait une investigation auprès des Apôtres et de tous les témoins vivants, nous racontent comment Jésus-Christ, lors de cet événement que nous fêtons aujourd’hui, est monté au Ciel. Commentaire du passage de l’Évangile de saint Jean dans lequel Jésus donne ses dernières instructions à ses apôtres : Jésus nous a aimés jusqu’à donner sa vie, comme Lui, il faut s’aimer les uns les autres et demeurer en son amour afin de porter du fruit. En ce 5e dimanche de Pâques, l’Église nous donne à méditer la merveilleuse allégorie de la Vigne et des sarments que saint Jean nous rapporte dans le discours après la Cène mais qui se situe chronologiquement le jour de l’Ascension, au moment où Jésus s’apprête à quitter ses Apôtres pour monter au Ciel. Que chante l’Église, que répète à l’infini dans une ivresse de joie sacrée la liturgie de ce temps de Pâques, sinon la victoire définitive qu’a remportée son Époux sur l’Ennemi séculaire ? Jésus, nous vous chantons, parce que vous avez racheté le monde par votre Sainte Croix. En ce 3e dimanche de Pâques, l’Église nous donne à méditer la première épitre de saint Jean où l’Apôtre bien-aimé nous enseigne que si nous avons le malheur de pécher, « nous avons un avocat auprès du Père, Jésus Christ, le Juste. C’est Lui qui est victime de propitiation pour nos péchés, non seulement les nôtres, mais aussi ceux du monde entier. » Je voudrais vous faire partager la joie de toute l’Église à la Résurrection du Christ. Nous en avons toutes les preuves : les Évangiles, la foi des Apôtres revenus de leur incrédulité, les prophéties de Jésus annonçant à l’avance tous ces événements, et enfin « l’ultime preuve à conviction » que constitue le Saint-Suaire. En ces jours calamiteux, il nous faut imiter la foi du Cœur Immaculé de Marie qui a attendu la Résurrection de Jésus. Ainsi nous autres, mes bien chers frères et sœurs, nous attendons la résurrection de l’Église par la puissance du Cœur Immaculé de Marie qui en fut la Reine dès le jour de Pâques avec la même assurance invincible. Si la Croix du Christ est une sagesse, elle nous apparaît bien plus, au-delà de cette sagesse humaine et divine un amour. La Croix est un appel à l’amour. Comment en ce vendredi-saint pourrions-nous ne pas avoir le cœur chaviré ? Les deux Cœurs de Jésus et Marie se suffisent à eux-mêmes : le bonheur de l’un fait le bonheur de l’autre, et pourtant ils vont se séparer ! Je suis confondu de reconnaissance, car vous avez préféré, ô Jésus, ô Marie, sacrifier votre amour ici-bas afin de nous donner une grande part de votre Cœur. Pour entrer dans notre semaine sainte, méditons une instruction que la bienheureuse Marie du Divin Cœur a prononcé le dimanche des Rameaux 1895 et que notre Père aurait pu écrire de sa main, tellement il est entré dans les sentiments de cette sainte religieuse, du jour où il l’a découverte. Tandis que les juifs condamnent Jésus à mort, les païens entrent en scène. Comme les Apôtres, qui n’ont pas compris sur le moment et se sont souvenus des prophéties après leur accomplissement, les Grecs se rappelleront que Jésus leur avait annoncé à l’avance sa mort ignominieuse et son ensevelissement, comme sa manière à lui de l’emporter sur ses adversaires et de porter du fruit. Nous avons vu dimanche dernier comment Jésus a fait une entrée fracassante à Jérusalem en chassant les marchands du Temple. Cependant il ne se fait aucune illusion sur les autorités religieuses qui l’ont interrogé sans comprendre le sens de sa réponse. Nicodème partage cette incompréhension, mais pour cet honnête pharisien, les paroles de Jésus seront bientôt semence de vie et de vérité. Jésus monte à Jérusalem et le voici qui arrive au cœur de la Ville Sainte, au Temple. Le zèle de la maison de son Père le dévore, il va en chasser les scandaleux, et dans le feu de cette action il révèle d’une manière énigmatique le mystère de son corps. L’Église en ce deuxième dimanche de Carême nous donne à méditer la scène évangélique de la Transfiguration. Je voudrai vous faire découvrir les harmonies cachées que le Ciel a établies entre cette théophanie de Notre Seigneur et le Troisième Secret de Fatima. Nous sommes dans un monde tellement engagé dans le mal que nous ne pouvons faire ce Carême sans demander au Bon Dieu la force de résister à l’entraînement général. Dans des temps comme le nôtre où nous sommes agressés perpétuellement, c’est comme si nous vivions dans un désert où nous sommes sans cesse attaqués, assaillis par des gens qui en veulent à notre vie. Avec ce premier voyage apostolique de Jésus, Marc nous raconte les choses telles qu’elles se sont passées, tel que saint Pierre les a vues. Plus encore que la puissance de Jésus, c’est visiblement son Cœur compatissant qui a bouleversé les apôtres... Nous reprenons notre récit de Marc. L’évangile de ce dimanche va nous révéler que Jésus, cet homme si fort qui sort de la synagogue pour se rendre chez saint Pierre est aussi un cœur tendre, un homme pieux. Pour pénétrer dans le Cœur de la Vierge Marie, il nous faut entrer dans ce mystère de compassion corédemptrice et passer par la plaie de ce Cœur, ouverte par le glaive qui le transperça selon la prophétie du vieillard Siméon : « Et toi-même, un glaive te transpercera l’âme ! afin que se révèlent les pensées intimes d’un grand nombre de cœurs. » Selon cette parole, quiconque sera ému par la blessure du Cœur de Marie, sera sauvé. En ce 4e dimanche du temps ordinaire, l’Église nous donne à méditer l’enseignement de saint Paul qui n’hésite pas à faire l’éloge de la virginité à ses chrétiens de Corinthe. En nos temps de désorientation diabolique, il nous est bon de revenir à l’enseignement traditionnel de l’Église qui a toujours défendu l’excellence de la vie consacrée à Dieu par rapport au mariage. L’aventure de Jonas qui reprochait à Dieu d’avoir fait miséricorde à la ville de Ninive nous invite à entrer dans les desseins de Dieu pour en comprendre toute la sagesse surnaturelle et y coopérer avec générosité pour le salut éternel du plus grand nombre possible. C’est merveilleux d’être disciple, de se sentir pris, emporté vers Dieu par un maître... Les apôtres et tout particulièrement saint Jean en ont fait l’expérience éminente avec Jésus en personne... l’Église dispense généreusement une grâce analogue à ses enfants par le ministère de ses prêtres. Saint Marc nous en prévient dès les premières lignes de son évangile, nous devons nous convertir, confesser nos péchés, les regretter pour entrer dans ce royaume nouveau qui s’offre à nous aujourd’hui, comme jadis il s’offrait aux jeunes romains qui écoutaient saint Pierre prêcher. Cette conversion des péchés opérée par le baptême est l’annonce d’une sainteté spirituelle. De la connaissance du Créateur à la connaissance intime de Jésus, la distance est trop grande pour que nous ne trouverions pas le passage. Il faut partir de ce qui est tout près de nous, accessible, ouvert à tous : de Bethléem, de la crèche de Noël où Marie nous attire à Jésus, le fruit béni de ses entrailles.« Vous êtes trop petit pour faire tout cela »
L’Annonciation nous révèle le mystère de la Sainte Trinité
Garder la joie de la foi dans les épreuves
Le secret du Cœur de Marie-Immaculée
La personnalité de saint Jean-Baptiste
Introduction à l’année liturgique
« L’abomination de la désolation »
La Parousie
Le Cœur de Jésus dans l’Évangile
Mourir pour aller au ciel
Le Père de Foucauld, modèle d’amour de Dieu
Le Saint-Sacrifice de la messe, unique espérance de notre salut
Le quatrième chant du Serviteur de Yahweh
Le Cœur de Jésus mis en échec
« Ce sacrement est grand ! »
Douceur et sévérité de Jésus dans l’Évangile
L’apprentissage de la morale évangélique
Le troisième chant du Serviteur de Yahweh
« Il a bien fait toutes choses »
Les Pharisiens : saints ou assassins ?
Jésus fort et vainqueur
Que la Sainte Vierge soit la saveur de notre vie spirituelle !
La communion remédie à notre tristesse
Le Pain de vie
Les trois clous d’or de notre profession de foi catholique
Jésus, modèle du bon pasteur compatissant
La morale mystique de saint Paul
Jésus à Nazareth : premier échec
Un temps de miséricorde nous est donné
La tempête apaisée
La meilleure mort
Notre consécration au Sacré-Cœur de 1973 reste d’une actualité saisissante.
La communion, couronnement de l’œuvre divine
Le merveilleux mystère de la Trinité
Heureux l’homme d’Église !
La joie de l’Ascension
Trinité d’amour
« Je suis le cep de vigne, vous êtes les sarments. »
La victoire de la Croix
Jésus, notre bon samaritain, guérit toutes nos misères
Joie de l’Église à la Résurrection de son Sauveur
Imitons la foi du Cœur Immaculé de Marie
Entrer dans le Cœur plein d’amertume de Notre-Seigneur est une nécessité d’amour
Se sacrifier pour sanctifier
Entrée en carême avec la bienheureuse Marie du Divin Cœur
Jésus vainqueur de Satan et sauveur du monde
Nicodème : l'incompréhension juive
Jésus s’impose en maître à Jérusalem
La Transfiguration et le troisième secret de Fatima
Comment faire Carême en temps d’apostasie ?
Révélation du Cœur compatissant de Jésus
Puissance et bonté de Jésus
Marie, Mère des douleurs
L’éloge de la virginité et de la vie consacrée à Dieu
Les invisibles et merveilleux accroissements de l’église dans la tourmente
La joie d’être disciple
Découvrir Jésus à la suite de saint Marc
À Jésus par Marie !