La Visitation est une manifestation du Cœur de la Sainte Vierge. C’est l’exemple parfait de la médiation de Marie. En ce dimanche de GAUDETE, vous m’ordonnez par la voix de l’Apôtre, d’être joyeux, mon Dieu. Pourquoi serais-je triste ? L’évangile de ce dimanche nous met en présence de la personnalité énigmatique et considérable de saint Jean-Baptiste, le Précurseur. Tout l’Ancien Testament converge vers Jean-Baptiste, qui montre en Jésus le Messie tant attendu. Croyons à saint Jean-Baptiste pour croire à Jésus. La Vierge Marie règne sur toute l’histoire de l’Église, depuis le début, il y a deux mille ans, mais surtout en nos temps qui sont les derniers. Après les temps mauvais que nous vivons, viendra une ère nouvelle et la réalisation des prophéties, cent fois plus merveilleuse que ce que nous avons vu jusqu’à maintenant. Nous allons voir aujourd’hui comment son discours sur les catastrophes cosmiques de la fin des temps nous transporte dans la sublimité d’une Sagesse qui n’est pas humaine. Les miracles d’Élie sont comme autant de signes pour nos temps d’apostasie. Pourquoi aimer Dieu de tout notre cœur, de toutes nos forces et de tout notre esprit est-il le plus grand commandement ? Quelle merveilleuse idée que cette fête de tous les saints proposés à notre admiration, à notre affection, comme modèles. L’Église en ce 30e dimanche du temps ordinaire nous donne à lire un passage de la lettre aux Hébreux. Cette lettre aux Hébreux fait un éloge du Christ comme le Souverain Prêtre dont le sacrifice de la Croix est parfait : nouveau et éternel. L’esprit de la Croix, c’est d’accepter la dureté de la vie, la pauvreté, la maladie, ce que Dieu nous envoie de rude pour la nature, parce que cela nous purifie. Il existe une voie plus parfaite qui est d’aller volontairement vers la Croix avec Jésus, pour lui être une humanité de surcroît. Regardons Charles de Foucauld, c’est vraiment comme le jeune homme riche de l’Évangile, mais à cette différence, que du jour où il comprit que Jésus existait, il comprit qu’il ne pouvait plus vivre que pour lui seul. Dans nos temps de désorientation diabolique, après avoir écouté le passage de l’Évangile de saint Marc où Notre-Seigneur proclame l’indissolubilité du mariage, il nous est bon de méditer, à l’école de notre Père, l’enseignement traditionnel de l’Église sur « ce grand sacrement ». Nous avons vu combien le Cœur de Jésus dans l’Évangile de saint Marc se révèle à la fois doux, aimant, compatissant et patient. Aujourd’hui, il nous faut comprendre que la colère de Jésus envers ceux qui empoisonnent les âmes innocentes des enfants en leur enseignant des hérésies n’est que le revers de son divin Amour. Aujourd’hui, l’Église nous donne à méditer le chapitre 2e du Livre de la Sagesse qui est une révélation absolument saisissante du mystère de la Rédemption. L’évangile de ce dimanche me fait un devoir de vous parler de la Croix de Jésus et des nécessaires souffrances et renoncements que doivent consentir ses disciples, à sa suite. Reprenons quelques scènes de l’Évangile de saint Marc que nous avons méditées tout au long de cette année, et mettons-nous à l’écoute des battements du Cœur de Jésus. L’Église nous donne à méditer aujourd’hui un extrait de l’Évangile de saint Marc où Jésus manifeste une ardeur terrible à prendre la défense du peuple contre les fausses autorités de Jérusalem. Je ne comprends pas qu’on puisse mettre en doute l’éminente dignité de la vie religieuse. La vérité est que le Christ a voulu cet état de perfection qui consiste à tout quitter pour le suivre. L’Église a vécu de l’Eucharistie, et le fruit de cette communion quotidienne au Corps de son Époux, à son Sang Précieux, sont les trésors de sainteté, d’art et de science, de vertu et de charité que les ravages de l’apostasie présente sont en train de dissiper. Ô doux Sauveur, comment ne pas être ému de tendresse à chacune de vos paroles, mais peut-être plus qu’à toute autre, à cette promesse que vous faisiez aux Apôtres, pour les réconforter : Je ne vous laisserai pas orphelins. Les paroles du discours sur le « Pain de vie » dont nous poursuivons la méditation nous révèlent que Jésus est la vie et la lumière des hommes. Nous allons voir comment Jésus va de l’avant malgré l’incompréhension des juifs, afin de livrer à tous, la plénitude de la Révélation de Dieu. La Sainte Vierge assistait au discours de Capharnaüm sur le Pain de vie admirant immensément la Sagesse des paroles de Jésus, et son courage. Elle comprenait tout et était navrée de l’incompréhension des Juifs, de leur dureté de cœur et d’esprit, sachant bien qu’ils en viendraient à tuer son divin Fils. Jésus fait par miséricorde le miracle éclatant de la multiplication des pains pour annoncer le banquet quotidien dont il nourrira son Église, et le festin des noces éternelles, au Ciel ! C’est le grand désir de son Cœur Eucharistique, qui sera le fruit de son sacrifice sur la Croix. Dans l’Évangile, Notre Seigneur a pitié de la foule qui l’a suivi dans le désert : « J’ai pitié de cette foule ! » Notre Seigneur a aussi pitié de cette foule moderne qui prend des vacances. L’Église nous donne à méditer l’épître aux Éphésiens de saint Paul, pendant plusieurs dimanches de suite. Ayant vu le Christ au principe et fondement de tout sur le chemin de Damas, voyons comment saint Paul en est arrivé à prêcher une morale mystique. Comment ces gens ont-ils pu vivre trente ans avec Jésus et ne rien remarquer ? On se scandalise de l’attitude des gens de Nazareth, mais aujourd’hui même, les catholiques dans leur ensemble n’agissent-ils pas de même ? L’Église nous donne aujourd’hui à méditer le miracle de la résurrection de la fille de Jaïre. Nous allons voir à quel point ce récit est un figuratif de la résurrection de l’Église. Je vous demande, ô Saint-Esprit, de me servir de guide, d’enflammer mon cœur dans la méditation de ce miracle de la tempête apaisée, afin que cette scène d’Évangile serve à mon réconfort et à l’amélioration de ma vie. En ce mois du Sacré-Cœur, il faudrait que nous soyons à l’aise dans le Cœur de Jésus. Qu’il nous console perpétuellement, en toute occasion ; dans notre petite vie privée d’abord, nos petites épreuves personnelles, mais aussi dans les grandes épreuves de notre Pays et de l’Église. Vois ce Cœur qui a tant aimé les hommes... Ceux que le Père m’a donnés, à votre ressemblance et par votre grâce, ô Jésus crucifié, je les aimerai dans la vérité de l’immolation quotidienne et à l’heure suprême par la croix. Celui qui devait bientôt exiger de ses disciples qu’ils laissent tout pour le suivre, père, mère, épouse, enfants devait nous en donner d’abord l’exemple. En ce jour de la fête du Saint-Sacrement, renouvelons notre foi en Jésus vraiment, réellement, substantiellement présent dans la Sainte Eucharistie. Les mystères de notre sainte religion sont les divines vérités que Dieu lui-même a fait connaître aux hommes, qu’Il a révélées par ses Prophètes, par ses Apôtres, mais surtout par son Fils Jésus-Christ qui les a toutes enseignées durant sa vie terrestre. L’Esprit-Saint est bien méconnu. Pourtant ! c’est chaque jour et sans cesse que L’Esprit-Saint se fait connaître avec suavité à l’âme attentive... L'Ascension de Notre-Seigneur est un événement historique qui doit nous transporter d'allégresse. En effet, Jésus est au Ciel où Il travaille pour nous, afin que nous allions le rejoindre et vivre avec Lui pour l’Éternité. « Mon commandement, c’est que vous vous aimiez les uns les autres comme je vous ai aimés. » Pourquoi ce commandement du Seigneur est-il si malmené de nos jours, même dans l’Église ? Pourquoi faute d’y obéir, les pauvres gens vont-ils de malheur en malheurs ? Ô Jésus, en méditant cette allégorie de la vigne, nous voudrions nous sentir pris comme les membres d’un seul Corps dont vous êtes la Tête, comme les membres d’une seule Épouse, l’Église, dont vous êtes l’Époux. Le bon Pasteur, c’est celui qui guide et conduit son troupeau. C’est aussi celui qui dit la vérité à son peuple, qui lui donne les sacrements, c’est-à-dire la vie de la grâce, c’est celui qui donne la loi de Dieu et lui indique la voie à suivre afin qu'il mène une bonne vie. Tel a été notre Père tout au long de sa vie sacerdotale. Le Christ ne nous demande pas de croire à l’aveugle. Ce qu’il veut en ces jours de Pâques, c’est multiplier les preuves de sa résurrection afin de fortifier la foi de ses témoins. Jésus ressuscité est apparu à ses Apôtres pour fonder leur ministère sur un témoignage oculaire. Ce témoignage apostolique porte sur des faits qui sont des « signes » lumineux, disposés par la main même de Dieu. La résurrection est un événement historique que les apôtres et de nombreux disciples ont connu et dont ils ont témoigné. Leur témoignage est véridique ; il a résisté et résiste encore à la critique ! En ce vendredi-saint, méditons sur le mystère du Cœur à Cœur de Jésus-crucifié et de sa Sainte Mère. En ce Jeudi-saint, méditons sur l’abîme de contrition que dans son agonie Jésus a éprouvé pour nous et à notre place. Pendant ces jours de la Semaine sainte, il nous est demandé simplement de regarder la Croix pour comprendre ce qu’est ce sacrifice du Fils de Dieu fait homme, mourant pour les péchés de la multitude. Pour nous préparer à entrer dans notre Semaine sainte, collons-nous à Jésus : Il est la Voie, la Vérité, la Vie, notre modèle unique. L’Église, en ce quatrième dimanche de carême nous fait méditer sur le figuratif du serpent d’airain dans le livre de l’Exode. Dans sa vie publique Jésus va affronter Satan comme prince de ce monde, ayant à son service les pharisiens, les sadducéens, tous les habitants de Jérusalem trompé par ses élites. Pour libérer son peuple, Notre-Seigneur a sans cesse démasqué l’hypocrisie, les mensonges, les cupidités des pharisiens et des sadducéens. En ce deuxième dimanche de Carême, l’Église nous fait méditer sur la Transfiguration de Notre Seigneur. Ce passage de l’évangile de saint Marc est d’une très grande richesse théologique. Nous sommes dans un monde tellement engagé dans le mal que nous ne pouvons faire ce Carême sans demander au Bon Dieu la force de résister aux mauvais exemples, à l’entraînement général. En cette année où l’Église nous donne à méditer l’Évangile de saint Marc, mettons-nous à l’écoute des battements du Cœur de Jésus pour comprendre à quel point nous sommes aimés de notre divin Sauveur. En cette année où l’Église nous donne à méditer l’Évangile de saint Marc, mettons-nous à l’école de notre Père pour comprendre la leçon principale de cet Évangile. Ce mystère de la Présentation est annonciateur des grands événements de la Passion, de la mort et de la résurrection de Jésus. Voilà pourquoi l’Église nous fait célébrer cette fête à mi-chemin entre Noël et Pâques. Devons-nous beaucoup craindre les attaques du démon ou, ce qui revient au même, les mouvements de notre mauvaise nature ? L’Église nous donne à méditer toute cette année l’Évangile de saint Marc. Cet Évangile a d’abord été la prédication orale de saint Pierre. Ce passage que l’Église nous donne à méditer aujourd’hui nous fait comprendre ce qu’est un disciple. Les événements qui entourent la naissance de Jésus et son Épiphanie, bien datés et localisés, sont attestés par un témoin oculaire irrécusable vers lequel saint Luc tourne les yeux et oriente le cœur des générations à venir : « Quant à Marie, elle conservait avec soin toutes ces choses, les méditant en son cœur. »La Visitation : exemple parfait de la médiation de Marie
Pour que notre joie chrétienne demeure
La personnalité de saint Jean-Baptiste
Enfants de Marie
« Je régnerai malgré mes ennemis »
La prophétie de Jésus sur la fin des temps
Les miracles du prophète Élie sont encore actuels
Le secret de notre vie est dans l’amour de Dieu et du prochain
Aimer, admirer, les saints du Ciel
Unir notre immolation au Sacrifice de Jésus
Trois manières de donner sa vie
À l’exemple du Père de Foucauld, quand on aime, on veut suivre celui qu’on aime
L’indissolubilité du mariage
La charité du Cœur de Jésus
Le livre de la Sagesse annonce le mystère de la Rédemption
Souffrances et Croix, du maître et de ses disciples
Le Cœur de Jésus dans l’Évangile
Controverse sur la tradition des anciens
La grâce de la vie religieuse
Notre dévotion au Cœur Eucharistique de Jésus-Marie
Je ne vous laisserai pas orphelins... Marie !
Le discours sur le Pain de vie
Le discours sur le pain de vie de Capharnaüm
Le miracle éclatant de la multiplication des pains
Comment passer de bonnes vacances...
La morale mystique de saint Paul
L’incrédulité des gens de Nazareth, toujours actuelle !
La résurrection de la fille de Jaïre est un figuratif de la résurrection de l’Église
La tempête apaisée
Comment devenir des contemplatifs du Sacré-Cœur de Jésus
Vois ce Cœur qui a tant aimé les hommes
La parenté de Jésus
Consoler Jésus, réellement présent dans l’Eucharistie
Le mystère de la Sainte Trinité
L’Esprit-Saint, amour fort des âmes faibles
Le mystère tellement réjouissant de l’Ascension
Vivre dans l’amour selon le Christ ou dans la haine selon Satan
L’Allégorie de la Vigne
Conseil de sagesse surnaturelle d’un bon pasteur
Il est ressuscité ! C’est un fait historique !
L’apparition de Jésus ressuscité à ses apôtres
Les preuves de la résurrection du Christ
Le mystère du Cœur à Cœur de Jésus crucifié et de sa Sainte Mère
Jésus, notre bon Samaritain, a payé le prix de notre rédemption
Que faut-il faire pour bien vivre notre Semaine Sainte ?
Jésus, notre modèle unique
Le serpent d’airain, un figuratif de la Messe
Jésus se dresse contre les diaboliques
Les trois raisons de la Transfiguration
Avertissement salutaire d’un homme de Dieu
Le Cœur de Jésus dans l’Évangile
L’évangile de saint Marc
Le mystère de la Présentation de Jésus au temple
Le combat spirituel
Début de la prédication de Jésus en Galilée
Disciples et anti-disciples de Jésus
L’adoration des Mages