2020
Toute famille durant cette nuit de Noël éprouve une joie sainte ; elle sent grandir devant cette crèche son propre amour mutuel, ennobli et légitimé par la ressemblance qu’il a avec celui de la Sainte Famille et par son rôle d’initiateur à la connaissance de l’amour divin lui-même. Ô mon Dieu, en ce quatrième dimanche de l’Avent où l’Église nous demande de méditer sur la scène de l’Annonciation, je n’ai rien d’autre à faire que d’entrer en pensée dans la maison où habite la Sainte Vierge Marie, et ainsi de voir, goûter, toucher tous les éléments de cette scène ravissante afin de m’instruire de ce mystère. En ce troisième dimanche de l’Avent, l’Évangile qui nous est proposé raconte les hésitations de saint Jean-Baptiste. Voyons comment les doutes du Précurseur du Seigneur sont d’une actualité saisissante et doivent nous servir de leçon. L’évangile de ce dimanche nous met en présence de la personnalité énigmatique et considérable de saint Jean-Baptiste, le Précurseur. Tout l’Ancien Testament converge vers Jean-Baptiste et Jean-Baptiste montre en Jésus le Messie tant attendu. Tout nous montre que nous arrivons à des années qui vont être, pour l’Église mais aussi pour notre patrie, leur Vendredi saint. Alors, si nous devons recommencer une année liturgique, nous qui sommes ici dans un îlot de paix et qui vivons régulièrement et dans la facilité d’une vie régulière loin du monde, il est temps de prendre les choses au sérieux. L’apostasie où nous sommes n’aura qu’un temps. C’est par le Cœur Immaculé de Marie qu’elle cessera. Nous verrons alors le règne universel du Très Saint Cœur de Jésus et de Marie pour lequel tant et tant de saints, de familles chrétiennes ont prié, ont récité le Rosaire. Nous n’avons qu’à nous joindre à eux. Quelle belle vocation que la nôtre ! « L’homme ne peut pas vivre sans femme, c’est bien vrai, mais une seule est capable de nous retirer de tout amour malséant, désordonné, pour nous garder dans son Cœur où sont plus de charmes que dans le cœur de toutes les femmes réunies. Elle seule peut nous introduire au Ciel, car ELLE EST DU CIEL et cependant Mère de tous les enfants de Dieu, et c’est Marie, la Femme parfaite. » La parabole des vierges folles et des vierges sages est un texte privilégié de l’Évangile où Notre Seigneur se présente comme l’Époux des Vierges, l’Époux de toute l’humanité. Il nous révèle ainsi que nous sommes appelés à connaître avec lui une union très intime, très profonde et éternelle. Le Ciel est l’unique but de tous nos travaux et pourtant les gens ne le désirent pas parce qu’ils ne le connaissent pas ni ne l’imaginent. Pour notre Père, au contraire, le Ciel dévore tout son horizon. Cette page mystique nous montre qu’il fut véritablement suscité par le bon Dieu pour rendre la foi au Ciel au milieu d’une génération victime de la désorientation diabolique. L’Église en ce 30e dimanche du temps ordinaire nous donne à méditer ce passage de l’Évangile de saint Matthieu où Notre Seigneur enseigne que le plus grand commandement est d’aimer Dieu de tout son cœur, de toute son âme de tout son esprit et son prochain comme soi-même. Mais que veut dire “ aimer Dieu ” ? Voyons-en quoi la prédication du Pape François sur ce passage d’Évangile est emblématique du caractère équivoque du concile Vatican II qui invite les hommes à la construction de la Cité terrestre en oubliant le Ciel, qui est l’unique nécessaire. Que signifie la robe nuptiale dont parle cette parabole ? Bien entendu, on peut dire que c’est la robe du baptême ou l’état de grâce, ou encore la Foi, l’Espérance et surtout la Charité. Mais ne pourrait-on pas dire aussi que c’est la bonne volonté, le bon esprit ? Cette parabole des vignerons homicides est à la fois une allégorie de ce qui s’est passé du temps des Prophètes de l’Ancien Testament et une annonce de la Passion de Notre Seigneur. Nous allons voir enfin comment elle demeure aujourd’hui d’une actualité formidable. En ce 26e dimanche du temps ordinaire, nous voyons saint Paul exhorter ses chers Philippiens à avoir entre eux une intense charité, rien de moins que les mêmes sentiments qui sont dans le Christ Jésus. Cet idéal du véritable disciple de Jésus-Christ est aussi celui du Phalangiste de l’Immaculée tel que notre Père l’a défini dans les 150 points. Jésus est un grand professeur, le plus grand enseignant que la terre ait porté puisqu’après 2000 ans, on ne cesse de se nourrir de ses enseignements. Quel mystère va-t-il prêcher aujourd’hui à travers cette parabole ? Celui de la charité fraternelle et de l’amour de Dieu. Cette parabole du débiteur impitoyable porte sur un point tellement essentiel de notre vie morale que l’on peut dire que c’est le point sublime de la charité évangélique. L’Église en ce 23e dimanche du temps ordinaire nous donne à méditer un extrait de l’épître aux Romains où saint Paul exhorte ses chrétiens à pratiquer la charité en leur conseillant de « n’avoir d’autres dettes que celle de l’amour mutuel, car celui qui aime son prochain accomplit toute la loi ». Voyons comment cette exquise charité a été vécue à la perfection par la Sainte Famille à Nazareth, modèle incomparable de nos familles et de nos communautés religieuses. L’Église, en ce 22e dimanche du temps ordinaire nous donne à méditer un enseignement de Notre-Seigneur exigeant qu’il est devenu urgent de rappeler en nos temps d’apostasie où les choses de la terre ont pris toute la place : « Que sert à l’homme de gagner l’univers s’il vient à perdre son âme ? » À Césarée, Pierre inspiré par Dieu fut le premier à professer sa foi dans la divinité de Jésus, c’est pourquoi le Christ en a fait le chef de son Église. Aujourd’hui, alors que nous avons perdu le sens de notre appartenance, il est bon de nous rappeler les principes constitutifs de notre Église, tels que saint Pierre et ses successeurs, fidèles au Christ plutôt qu’aux hommes, les ont établis. Dieu veut établir dans le monde en perdition la dévotion au Cœur Immaculé de Marie afin que le miracle de la conversion des pauvres pécheurs soit véritablement son œuvre à Elle en même temps que celle du Père, l’un et l’autre agissant en leur unique Fils. Jésus s’est montré marchant sur la mer et venant au secours de ses disciples, cela veut dire qu’il continue de surveiller son Église. Il est Celui qui gouverne tout, sans lequel rien ne se fait. Cette grande vérité est tout à fait nécessaire à la vertu d’espérance. L’Évangile du miracle de la multiplication des pains que l’Église nous donne à méditer en ce 18e dimanche du temps ordinaire nous invite à approfondir le mystère de la Sainte Eucharistie dont il est une préfiguration. En travaillant l’Écriture sainte, j’ai souvent été frappé par une évidence fulgurante : celui qui a parlé ainsi ne peut être que le Fils de Dieu, Dieu lui-même. Aucun homme n’a pu inventer pareilles choses. Cette parabole du bon grain et de l’ivraie que l’Église nous donne à méditer aujourd’hui semble donner raison au libéralisme catholique qui prétend que dans l'Église, il faut tolérer n'importe quelles moralités, parce que la charité du Christ exige que le vrai, le faux, le bien, le mal, grandissent ensemble, laissant à Dieu le soin de juger à la fin des temps. Que faut-il en penser ? Nous venons d’entendre la parabole du Semeur. Mais cette merveille de la nature n’est qu’une lointaine image d’une bien autre aventure, celle de la Parole de Dieu, reçue dans une âme plus ou moins disposée, dont l’énergie secrète vise toute à produire du fruit en s’aidant des éléments favorables, eau baptismale et souffle de l’Esprit-Saint. Ô Jésus, ô Vierge Marie, ô patriarche Joseph, j’admire la Sagesse et la Miséricorde de votre Père et notre Père qui, de toute éternité, a choisi cette voie d’humilité pour vous et pour nous. Ô Jésus, vous êtes réellement présent dans l’Eucharistie et maintenant, si nous voulons vous écouter, nous ouvrons le Livre saint que vous nous avez laissé. Et les leçons que Vous avez données à vos Apôtres et à vos disciples sont dites une fois pour toutes, pour toutes les générations et donc, pour nous-mêmes. En ce jour de fête du Cœur de Jésus, comment ne pas être envahi par ce désir de voir toutes les créatures s’effacer devant le seul Maître Bien-Aimé ? Dieu aujourd’hui nous rend si proche et si sensible sa bonté ! Dans le Cœur de Jésus qui a battu pour nous, comme peut battre un cœur aimant ! ce sont des abîmes d’amour puissant et sage, profond et inlassable, qui nous sont révélés. En cette fête du Très Saint-Sacrement, mettons-nous à l’école de saint Pierre-Julien Eymard afin d’apprendre à goûter la saveur cachée de la Sainte Eucharistie qui est une source de paix, de joie et de bonheur. Si nous contemplons les Trois Personnes divines, nous comprenons qu’Elles vivent de toute éternité dans un profond accord. Elles échangent leur Être, c’est-à-dire leurs pensées, leurs volontés, accédant au désir l’une de l’autre, dans un mouvement de complaisance mutuelle. Et elles désirent nous faire entrer, par le moyen de la prière, dans ce mouvement de circumincessante charité qui les unit de toute éternité. Mon Dieu, en ce jour de la Pentecôte, donnez la grâce à votre Église de retrouver cette fonction essentielle de la prière que vous lui avez assignée. Le retour des chrétiens à la prière, quel bienfait se serait ! Quelle est belle cette Ville sainte quand sur ses remparts prient les saints, quand ils chantent vos louanges et se tiennent dans un état de louange de votre gloire à travers toutes leurs actions. En ce dimanche de l’Ascension, il nous est bon de penser à la vie éternelle. C’est à sa clarté que tout prend sa véritable signification, sa seule valeur. Tout n’est que passe-temps et qu’ennui si l’on songe à cette vie éternelle qui est proche, où nous accomplirons cette œuvre pour laquelle nous sommes créés, la louange de notre Dieu. Ô doux Sauveur, comment ne pas être ému de tendresse à cette promesse que vous faisiez aux Apôtres, pour les réconforter le jour de votre Ascension : « Je ne vous laisserai pas orphelins ». Ils ne seront pas abandonnés seuls dans la vie, au milieu de vos ennemis, avec la charge écrasante de porter votre Évangile jusqu’aux extrémités de la terre. Que veut dire être catholique de nos jours ? Il est très réconfortant de savoir que nous possédons les paroles de la vie éternelle et que toute notre vie durant, nous n’aurons rien à modifier de nos convictions puisqu’elles nous sont données de la part de Dieu et demeurent éternellement. Dans ce passage d’Évangile, Jésus signale deux ennemis : le voleur qui ravit et égorge les brebis, et le mercenaire qui laisse faire et ne défend pas les brebis qui lui sont confiées. Depuis le Concile Vatican II, on peut dire que tous nos pasteurs qui œuvrent pour le dialogue entre les religions sont des mercenaires qui « ne défendent pas les brebis qui leur sont confiées ». Il suffit de relire ce discours de Notre-Seigneur sur le vrai et bon Pasteur pour y lire la condamnation de cette pastorale nouvelle. Une chose est certaine : le Ciel existe, et c’est là tout notre bonheur, non seulement à venir, mais dès maintenant : la pensée du Ciel où Dieu lui-même veut être notre éternelle récompense est notre trésor dès ici-bas. L’apparition de Jésus Ressuscité aux pèlerins d’Emmaüs que l’Église nous donne à méditer aujourd’hui nous prouve que le Ciel existe. Ô Jésus, Maître adoré, est-ce pour me consoler qu’un jour vous dîtes à celui qui mit sa main dans la plaie de votre cœur : « Heureux ceux qui ont cru sans avoir vu, Thomas » ou bien est-elle méritoire pour moi cette voie moins souriante qui va de la foi à la vision, et plus sûre que l’autre qui va de la joie des yeux à la foi ? En cette grande journée de Pâques, voyons comment Jésus-ressuscité avait planifié sa journée et soigneusement organisé le déroulement de ses apparitions. En ce vendredi saint, méditons sur cet océan de souffrance dans lequel la Vierge Marie a été plongée et comprenons que la vie de la Vierge Marie, comme il nous est dit du Christ dans l’Imitation « a été une croix et un long martyre ». Le thème de notre méditation en ce Jeudi saint sera d’étudier quelle est notre place dans cette Passion, car Jésus étant en agonie jusqu’à la fin du monde, il ne faut pas dormir pendant ce temps-là. Il nous demande de l’accompagner dans sa Passion, principalement quand l’église est persécutée, quand lui-même dans sa sainte Eucharistie ou dans son saint Évangile et sa Sainte Face, est objet de blasphèmes, de refus et de rébellions. Pour mieux comprendre quels furent les sentiments du Cœur de Jésus durant ces événements terribles de la Passion où Jésus a opéré la rédemption du genre humain, il nous est bon de reprendre le cours de théologie Kérygmatique de notre Père sur le mystère de la Rédemption qui jette un flot de lumière sur les événements que nous allons revivre au cours de cette semaine sainte. Nous arrivons au dernier dimanche de carême et l’Église nous donne à méditer sur le miracle de la résurrection de Lazare. Ce miracle inouï de Notre-Seigneur au moment où il est affronté à la haine des pharisiens prouve non seulement sa divinité mais est un figuratif de sa propre résurrection qu’il accomplira le matin de Pâques. Le bon peuple de Jérusalem est sidéré. Jésus va guérir sous leurs yeux l’aveugle-né. Cette scène est un tableau vivant de Jérusalem, pris sur le vif, d’une fraicheur et d’une véracité extraordinaire. Nous retiendrons que c’est dans ce climat d’opposition et d’hostilité des pharisiens que Notre-Seigneur cependant rayonne de douceur, de miséricorde et de joie au milieu des siens. Ô mon Dieu, Vous êtes ici présent dans au tabernacle comme vous étiez en Samarie, en Judée, mais ressuscité, glorieux, entouré des saints et des anges de la cour céleste, louant votre gloire pour l’éternité. Et, par la grâce de mon baptême, je me trouve introduit dans cette cour de vos adorateurs et je voudrais faire aujourd’hui de votre conversation avec la Samaritaine l’objet de ma méditation. L’Évangile de ce 2e dimanche du Carême nous donne à méditer sur l’événement de la Transfiguration qui est un événement réel, historique. Et ce miracle délivre un enseignement. Il dévoile un aspect du mystère de Jésus, une leçon que nous n’avons plus qu’à retrouver en méditant aujourd’hui ce récit de saint Matthieu avec vénération. Nous sommes dans un monde tellement engagé dans le mal que nous ne pouvons faire ce Carême sans demander au Bon Dieu la force de résister à l’entraînement général. Puisque beaucoup d’âmes vont en enfer parce qu’elles n’ont personne qui prie et se sacrifie pour elles, soyons, durant ce carême, du nombre de ces âmes, prédestinées, offertes en victimes d’amour et de miséricorde, pour consoler le Cœur Immaculé de Marie et répondre à son émouvant appel. Nous sommes tous appelés à la perfection de la charité dès cette vie. Il ne faut pas remettre au moment de la mort ni au temps du purgatoire ces ultimes progrès qui seuls nous rendront pleinement fils de Dieu. En vérité, la Providence nous ménage à tous un sentier qui monte directement vers Dieu et que nous avons le pouvoir de suivre sans défaillance jusqu’à son terme merveilleux. Saint Matthieu dans le chapitre 5e de son Évangile nous rappelle toutes les exigences de la Loi évangélique, opposée à cette vague religion qui laisse l’homme esclave des tyrannies de Satan. Jésus-Christ, qui est le Fils de Dieu fait homme, nous montre où est le vrai bonheur. La leçon de saint Paul, plus pressante aujourd’hui que jamais depuis deux mille ans, c’est que la Croix de Jésus est notre unique espérance. Y aura-t-il un jour sur terre une humanité pacifique et heureuse ? Ce ne pourra être que par le triomphe de la Croix dans tous les cœurs. Mais il est insensé et blasphématoire de penser et de prêcher que cette Cité humaine puisse apparaître et réussir dans l’oubli et le mépris de Jésus crucifié ! Remercions Jésus, adorons-le, unissons-nous à lui, de ce qu’il a fait pour nous dans sa Présentation au Temple, parce qu’il ne s’est pas simplement présenté à son Père pour se reprendre et mener une vie humaine, glorieuse et riche, mais parce qu’il s’est présenté à son Père afin de mourir pour nous et notre salut éternel. Les béatitudes ont été vécues en perfection par la Sainte Famille et les saints pour que nous nous engagions dans cette voie avec le désir d’avancer dans la vertu. Les bras chargés de bien spirituels, efforçons-nous de vivre dans cet esprit franciscain et évangélique que Jésus a enseigné aux multitudes qui le suivaient. Après ce trait d’union de saint Jean-Baptiste, nous entrons dans la plénitude, dans la merveille inouïe du Nouveau Testament. Les prophètes avaient rêvé d’un Juge qui viendrait exterminer les méchants et donner aux justes un bonheur sans fin. Mais ils n’avaient pas pu envisager cette bonté tendre du Cœur de Dieu qui va paraître sur la Face de Notre-Seigneur et ravir les foules de Galilée. Jésus, descendant dans les eaux du Jourdain, les enrichit de sa grâce. Et désormais, si nous nous faisons baptiser, si nous faisons baptiser nos enfants, c’est parce que nous savons que Jésus a sanctifié le baptême chrétien. C’est par ce baptême que nous entrons dans la vie surnaturelle. L’Épiphanie que nous fêtons aujourd’hui est une scène merveilleuse. Il faudrait que nous profitions de cette mise en scène de notre très chéri Père céleste pour faire de notre religion un amour. Il n’y a qu’une chose qui compte dans la vie, c’est l’amour mutuel, la circumincessante charité. L’amour consiste pour une âme, à admirer la relation qu’elle entretient avec les autres, auprès desquels elle vit, avec son prochain et cela, c’est inépuisable. En cette nouvelle année, plus que jamais, le Cœur Immaculé de Marie est notre refuge dans le déluge universel de l’apostasie envahissante. Quiconque n’a pas la dévotion au Cœur immaculé de Marie périra, sera noyé. La Sainte Vierge est non seulement notre Arche de Noé, notre échelle qui nous élève jusqu’à Dieu. Elle est la Médiatrice obligée, universelle, hors de laquelle il n’y a pas de communication entre le Ciel et la terre.Noël ou l’apprentissage de l’amour de Dieu
Oraison cordiale sur le mystère de l’Annonciation
Les doutes de saint Jean-Baptiste doivent nous servir de leçon
La mission de saint Jean-Baptiste
S’il nous est encore donné une année...
La geste divine du Christ-Roi
Se laisser conduire au paradis des saintes charités par l’Immaculée
La parabole des vierges sages et des vierges folles
Le Ciel : l’amitié retrouvée
Que veut dire “ aimer Dieu ” ?
« Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu... »
Que signifie la Robe nuptiale ?
La parabole des vignerons homicides, toujours actuelle !
L’imitation de Notre-Seigneur Jésus-Christ
La parabole des ouvriers envoyés à la vigne
Pardonner pour être pardonné
L’Amour mutuel à l’imitation de la Sainte Famille
Conseils de sagesse de notre Père
Église de Pierre, Église fidèle
« Dieu veut établir dans le monde la dévotion à mon Cœur Immaculé »
Le miracle de la tempête apaisée
La Sainte Eucharistie : Hostie vivifiante, nourriture de nos âmes
Jésus nous parle en paraboles
La charité vraie
Dans le silence de la terre, la puissante germination de la Parole
Jésus, doux et humble de Cœur
Notre engagement phalangiste
Les battements du Cœur de Jésus
Les bienfaits de la communion sacramentelle en notre âme
« Le Père et moi, nous sommes un. »
Prière au Saint-Esprit
Le Ciel, unique but de tous nos travaux
Je ne vous laisserai pas orphelins... Marie !
Unité dans la Foi, unité dans l’Église
Le vrai et beau Pasteur
Jésus ressuscité et Marie montée aux Cieux nous prouvent que le Ciel existe
Jésus, mon Sauveur et mon Dieu, je veux vous voir !
Le Cœur de Jésus ressuscité
Compassion pour l’immensité de la douleur de la Vierge Marie
Ne pas abandonner Jésus dans sa Passion
Athlète et Victime
La résurrection de Lazare : coup de force messianique
Le contexte historique du miracle de l’aveugle né
Jésus et la Samaritaine
La leçon de la Transfiguration
Un Carême cœur à cœur avec Notre-Dame de Fatima
Trois conseils pour devenir parfait
Comment devenir disciple de Jésus ?
Ô Sainte Croix, notre unique Espérance !
La leçon de la Présentation
Les béatitudes : le secret du secret de l’Évangile
La bonne nouvelle de la Miséricorde Divine
Le témoignage de Jean-Baptiste
Comment faire une méditation affective de la fête de l’Épiphanie
L’Évangile de Notre-Dame